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syka31

Légendes De La F1

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Vincent993

Et pendant ce temps, Marcus Ericsson remporte les 500 miles d'Indianapolis 2022.

Quelle gloire pour un pilote qui n'a pas été convaincant durant son passage en F1.


Azzuro, un truc de connaisseur ! :P

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Lord Brett

Triste nouvelle, Alain De Cadenet, ancien pilote et constructeur s'est éteint samedi à l'âge de 77 ans.

https://www.ouest-france.fr/sport/24-heures-du-mans/figure-de-l-endurance-le-pilote-automobile-et-constructeur-alain-de-cadenet-est-mort-ac2550dc-fa31-11ec-a7ca-214c8c56deac

J'aimais son style décalé mélange de noblesse française et flegme british. Il y a 4 ans, il était au LMC. RIP Alain.

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geo27
il y a 6 minutes, Lord Brett a dit :

Triste nouvelle, Alain De Cadenet, ancien pilote et constructeur s'est éteint samedi à l'âge de 77 ans.

https://www.ouest-france.fr/sport/24-heures-du-mans/figure-de-l-endurance-le-pilote-automobile-et-constructeur-alain-de-cadenet-est-mort-ac2550dc-fa31-11ec-a7ca-214c8c56deac

J'aimais son style décalé mélange de noblesse française et flegme british. Il y a 4 ans, il était au LMC. RIP Alain.

Ses vidéos Victory by design, je les ai regardé plus d'une fois...

Un bon

 

RIP

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Yves
il y a 23 minutes, Lord Brett a dit :

Triste nouvelle, Alain De Cadenet, ancien pilote et constructeur s'est éteint samedi à l'âge de 77 ans.

https://www.ouest-france.fr/sport/24-heures-du-mans/figure-de-l-endurance-le-pilote-automobile-et-constructeur-alain-de-cadenet-est-mort-ac2550dc-fa31-11ec-a7ca-214c8c56deac

J'aimais son style décalé mélange de noblesse française et flegme british. Il y a 4 ans, il était au LMC. RIP Alain.


un bel article sur lui dans le dernier numéro du magazine Autodiva (que j’en profite pour recommander ici)

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Lord Brett
il y a 12 minutes, Yves a dit :


un bel article sur lui dans le dernier numéro du magazine Autodiva (que j’en profite pour recommander ici)

Je l'ai acheté la semaine dernière, pas encore lu, LMC oblige

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geo27

Pour moi largement oui

 

4 titres, rien que çà...

et 14 victoires chez Ferrari

Sympathique malgré tout.

 

Par contre, il ne faut pas qu'il devienne trop pastèque parce là, çà peut énerver...

 

 

Je ne sais pas ce qu'il va pouvoir faire "après" ?

 

 

Modifié par geo27

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RedDreams

Extraordinaire ! 

Merci pour le partage 🙂


1000CH sinon rien !...
Quand 3 des 4 Pays Européens Champions du Monde de F1 rendent hommage à la plus belle GT Française inspirée d'une Oeuvre d'Art Italienne !...

Ç'est ici : http://www.ferrarista.fr/forum-ferrari/index.php/topic/6405-reddreams/page-4

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dragon1964
Le 29/07/2022 à 10:13, Etienne a dit :

😉 Est ce que Vettel aura sa place ici ? 

 

Il y aura sa place grâce aux nombres de titres acquis, ce qui semblent compter beaucoup dans l'appréciation d'aujourd'hui.

 

Pour moi, il y a d'autres critères car, pour de nombreuses raisons, notamment celle liée à la sécurité, les carrières des pilotes sont très longues ce qui n'était pas le cas avant ou les risques étaient sans commune mesure avec ceux d’aujourd’hui.

Il est sympa, oui, c'est mieux qu'une tête de con comme d'autres, mais des gars sympas il y en a plein les paddocks et ça ne fait pas une légende.

Il a une RBR fantastique qui est allé de pair avec l'assurance et l’insouciance que lui donnait son age, ensuite, chez Ferrari il s'est montré fébrile, agacé, et a perdu énormément des qualités d'un pilote de légende. Déjà lors de sa dernière année chez RbR, il avait perdu beaucoup de sa superbe..

Il ne sera pas en haut de ce tableau pour moi, mais plus vers le bas...

Modifié par dragon1964
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Lord Brett

Jean-Louis Fiszman, le célèbre et très inspiré dessinateur d'Auto Hebdo est parti bien trop tôt l'an dernier et le magazine a décidé de compiler un florilège de dessins concernant Fernando au coeur de l'actualité du moment.

 

Le regard de Fiszman nous manque depuis l'an dernier et quel aurait été son traitement de l'affaire Alonso-Alpine-Piastri.

 

On ne le saura jamais. C'est bien dommage.

 

Source : https://www.autohebdo.fr/actualites/f1/fernando-alonso-signe-fiszman.html

 

Citation

Best of Fernando Alonso signé Fiszman

Jean-Louis Fiszman nous a quittés il y a presque un an. À l'heure où la F1 semble devenir folle, son humour et son exceptionnelle finesse d'esprit nous manquent tant. Voici un florilège de ses meilleurs traits sur Fernando Alonso.

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2004 – 2006 : La première période Renault

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AH 1514 du 28 09 2005

 

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AH 1546 du 17 05 2006

 

2007 : Un passage agité chez McLaren

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AH 1584 du 14 02 2007

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AH 1585 du 21 02 2007

 

2008 – 2009 : De retour chez Renault

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AH 1634 du 06 02 2008

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AH 1662 du 20 08 2008

 

2010 – 2014 : La vie en Rouge chez Ferrari

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AH 1736 du 20 01 10

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AH 1895 du 07 02 2013

 

2015 – 2016 : Pour le pire avec McLaren Honda

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AH 2032 du 07 10 2015

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AH 2077 du 24 08 16

 

2017 – 2018 : Entre F1 et 24 Heures du Mans

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AH 2162 du 26 04 2018

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AH 2170 du 20 06 2018

 

2019 – 2020 : Du Mans au Dakar avant de rejoindre Alpine

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AH 2229 du 14 08 2019

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AH 2251 du 22 01 2020

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AH 2269 du 16 07 2020

 

 

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Lord Brett

Il y a 40 ans aujourd’hui les chances d’un titre pilote pour Ferrari s’envolait en même que les rêves de Didier Pironi de devenir le 1er champion du monde de F1 français.

 

 

Citation

Le rêve brisé de Didier Pironi

Voici tout juste 40 ans, le 7 août 1982, la trajectoire de Didier Pironi prenait fin brutalement à Hockenheim, alors qu’il caracolait en tête du championnat du monde. Une décennie après Cevert, la France perdait un autre candidat au titre. C’est Prost, trois saisons plus tard, qui brisera la malédiction. Pironi avait survécu, il se reconvertit dans les courses de bateaux où la mort le rattrapera. Rappel d’un double drame qui endeuilla la F1 et décima Ferrari alors qu’elle dominait la concurrence.

 

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LEADER DU CHAMPIONNAT

Lorsqu'il aborde ce Grand Prix d'Allemagne, Didier Pironi est en tête du championnat, 9 points devant John Watson, alors qu'il reste cinq manches à disputer.

Là où le Nord-Irlandais et son équipier, le revenant Lauda (4e, 24 unités), disposent d'une McLaren-Cosworth atmosphérique, le Français a entre les mains une Ferrari 126C2 à moteur turbo, comme la Renault de Prost (3e, 25 points). Sur des pistes rapides comme Hockenheim, l'Oesterreichring ou Monza, ceux-ci auront l'avantage. 

Beaucoup plus régulier que ses rivaux (Watson excepté), Pironi, auteur de trois poles, s'est imposé à Saint-Marin et aux Pays-Bas, finissant 2e à Monaco et en Angleterre, 3e à Détroit et en France. La voie vers le titre semble royale. 

Ingénieur de formation, le natif de Villecresnes a bien surmonté une première campagne difficile en rouge et a su se hisser au niveau de son équipier Gilles Villeneuve. 

 

 

UNE SAISON DRAMATIQUE

Pourtant, cette campagne est tout sauf un parcours de santé. 

Rompant un pacte de non agression en fin de Grand Prix à Imola, Didier a attaqué et battu Gilles. (photo du haut).

Se sentant trahi, Villeneuve n'a pas pardonné lorsqu'il se tue aux essais à Zolder deux semaines plus tard (photo du bas à gauche : Pironi ramenant leurs deux casques juste après l'accident) alors qu'il est derrière le Français en qualif. 

Nouveau drame à Montréal, où Didier, poleman, cale sur la grille. Le départ est quand même donné, tout le monde l'évite sauf le néophyte Riccardo Paletti. L'Osella s'empale à pleine vitesse sur la Ferrari, puis s'embrase, ne laissant aucune chance au jeune Italien.

Pour Pironi, qui fut le premier à porter secours au Transalpin, c'est un nouveau coup dur. Mais "the show must go on". 

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LA POLE LE VENDREDI

La journée du vendredi va s'avérer décisive à Hockenheim, de la pluie étant annoncée pour le lendemain. 

En 1'47''497, Pironi signe sa 4e pole de l'année avec près d'une seconde d'avance sur Prost. Suivent l'autre Renault d'Arnoux, la Brabham-BMW de Piquet et Patrick Tambay, appelé par le Commandatore pour remplacer son ami Gilles.

Premier "atmo" derrière la seconde Brabham de Patrese, Alboreto et sa Tyrrell-Ford sont 7e à... 4''7 ! Lauda est 8e, Watson seulement 11e derrière la Williams du Finlandais Keke Rosberg, qui prend de l'assurance chez Williams. 

C'est peu après la chicane ci-dessus, menant vers le Stadium, que, vingt-quatre heures plus tard, Didier aura un premier rendez-vous avec la faucheuse.  


 

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L’ACCIDENT

La séance libre du samedi matin se déroule sous une forte pluie, qui rend la visibilité quasi nulle. Aucune chance d'améliorer les chronos de la veille. 

Ils ne sont pas nombreux à se risquer en piste par ce temps. Vers 10h30, le drame éclate. Rattrapant la Williams de Daly moins rapide, Pironi se déporte sur la droite ; il ignore que l'Irlandais lui-même est occupé à doubler Prost. Le mur d'eau n'offre la vue de la Renault à Didier qu'au dernier moment, et le différentiel de vitesse est de plus de 100 km/h. 

La Ferrari décolle sur la roue arrière droite de la RE30B. Après un impressionnant vol plané, elle rebondit au sol, redécolle et finalement s'écrase sur le museau dans l'herbe, au moins 200 mètres après l'impact.

Prost forcément (l'état de la Renault, dans l'encart, donne une idée de la violence du choc) s'arrête. Cheever (Ligier), Mansell (Lotus) et Piquet également. Ils découvrent l'horreur. 


 

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HURLANT DE DOULEUR MAIS CONSCIENT

Didier gît, le visage ensanglanté, au milieu d'un tas de débris. L'avant de sa voiture n'est plus que ruine. Il supplie Piquet de le sortir de là, Nelson parvient juste à dégrafer son harnais, avant d'être pris d'un haut-le-coeur.

Par bonheur ledit harnais a résisté, et le pilote est resté conscient (ce qui va s'avérer capital pour la suite). Mais vu la faible protection qu'offre alors l'avant d'une Formule 1, où les pieds sont devant l'axe des roues, le Brésilien ne peut faire plus : les jambes de son jeune rival sont broyées dans un amas de tôles elles-mêmes déchiquetées. 

Plus tard, des voix ne manqueront pas de s'élever : quel besoin avait Pironi de rouler dans de telles conditions, deux secondes plus vite que tout le monde ?

Dire qu'en début de saison, il avait été, en tant que président du Grand Prix Drivers Association, un des moteurs de la révolte des pilotes, en Afrique du Sud. Un bras de fer contre le manque de considération à leur égard tant de la FISA que de la FOCA au sujet des contrats les liants aux écuries, mais le GPDA militait aussi pour davantage de sécurité. 


 

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L’AMPUTATION ?

Rapidement, les secours s'organisent, alors que la pluie redouble : commissaires de pistes, personnel médical, ambulances, hélicoptère, le grand jeu pour tenter de sauver la vie du leader du championnat. 

Le visage tordu par la douleur, Pironi ne perd toujours pas conscience. Face à la gravité de ses blessures (multiples fractures ouvertes des deux jambes, une cheville broyée, un bras cassé, etc.), il y a urgence absolue à le sortir de là. 

Un médecin évoque l'amputation de la jambe droite, réduite en bouillie. Didier supplie Syd Watkins, le doc de la F1, de n'en rien faire. Watkins lui donne sa parole et va la tenir.

Il faudra une demi-heure pour le dégager et l'évacuer vers l'hôpital de Heidelberg qui, coup de chance, est le principal centre de secours allemand pour les accidentés de la route. 

 

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CERCUEILS ROULANTS

L'état de la 126C2 n°28 témoigne autant de la fragilité des coques de l'époque que de la violence du choc. Même s'il faut tenir compte du fait que les sauveteurs ont dû la découper pour en extraire son infortuné passager, tout l'avant a disparu. 

Dans son malheur, Pironi a encore eu de la chance : aucun organe vital n'a été touché. Mais l'hémorragie aurait pu lui être fatale.

Rapidement, on sera rassuré : il vivra... mais dans quel état ? Alors que le film, atroce, du crash repasse en boucle dans sa tête, Didier va subir de multiples interventions - parfois longues de plus de six heures - durant les deux semaines qui suivent. Patiemment, les chirurgiens vont reconstruire des os effroyablement impactés. 

 

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FERRARI QUAND MÊME

Pendant ce temps, et alors que la presse s'étale sur la carrière brisée du champion du monde potentiel, le Grand Prix d'Allemagne a lieu, et va s'achever sur une belle histoire. 

Pas pour Piquet. Alors qu'il semble en route pour la victoire, le champion en titre se fait harponner dans une chicane par l'ATS d'Eliseo Salazar à qui il prenait un tour. Les images de Nelson, se ruant sur le Chilien pour le rouer de coups de poings, vont faire le tour du monde. 

Une tragi-comédie qui profite à... Tambay. Le joker de luxe, resté sur deux échecs chez McLaren puis Ligier, a parfaitement rempli sa mission. Pour ses débuts chez Ferrari, Patrick enlève son premier succès en F1 devant Arnoux et Rosberg. 

Le Finlandais, revenu à 12 points de Pironi, réduira l'écart à 6 en finissant 2e en Autriche - vaincu au sprint par de Angelis (Lotus) - puis prendra la tête du classement en remportant son premier GP à Dijon. Lorsque la saison s'achèvera à Las Vegas, Keke décrochera la couronne avec 5 unités de mieux que Watson et... Pironi. 

 

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LA CONVALESCENCE, AVEC JANNOT

La Scuderia est titrée chez les constructeurs en dépit de tant de malheurs, signe de son incontestable supériorité. Sur sa table de chevet à l'hôpital, le blessé contemple le petit trophée envoyé par Enzo Ferrari en personne : "A Didier Pironi, le vrai champion du monde 1982."

Il va poursuivre un long combat pour retrouver l'usage de ses jambes, subissant des dizaines d'opérations, en Allemagne puis en France. Il sera pris en charge à Paris par le professeur Emile Letournel (photo du bas, à gauche), chirurgien réputé qui s'est déjà occupé des jambes de Depailler et Jabouille - et plus tard, Laffite - après leurs graves accidents. 

Son incroyable volonté, son exceptionnelle condition physique vont permettre au Français de remarcher. Un soutien capital, aussi. Bien que marié, Didier entretient une liaison avec l'actrice Véronique Jannot, présente à Hockenheim le jour noir, et qui sera une autre motivation à retrouver une vie normale. 

 

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LA F1, C’EST FINI

Didier ne rêve que d'une chose : reprendre sa carrière. Comme promis par Enzo Ferrari, il a pu se glisser dans une F1 derrière le rideau d'un garage, loin des regards indiscrets, poser ses pieds sur le pédalier. 

Quatre ans après Hockenheim, il teste une AGS, puis une Ligier à Dijon. Des rumeurs l'envoient chez Larrousse, voire chez... McLaren aux côtés de Prost. Ses essais débouchent sur un double constat d'échec.

D'abord aucune des monoplaces françaises n'est suffisamment compétitive pour qu'il puisse jouer le titre, qui est son unique objectif. 

Ensuite, son tibia et sa cheville droits ne sont plus assez solides pour endurer les efforts qu'exige le pilotage d'une Formule 1, ou même d'une autre voiture de course. Pironi doit se résigner à tourner la page. 

 

 

L’ENVOL DU COLIBRI

Mais il y a toujours chez lui ce besoin d'adrénaline. Alors, il se tourne vers les courses de bateaux offshore, un milieu qu'il a découvert fin 1985. Il se lance l'année suivante en compétition. 

Pour 1987, avec l'aide de l'ex-pilote Jean-Claude Guénard qu'il a côtoyé comme ingénieur chez Ligier, il fait construire le "Colibri". Un monstre de 12,5 mètres à la coque en carbone kevlar (une première), ultra-légère, propulsé par deux V12 Lamborghini de 800 chevaux chacun.

Le journaliste de TF1 Bernard Giroux complète l'équipage en tant que navigateur. En raison de ses séquelles aux jambes, Pironi dispose d'un siège spécial monté sur amortisseurs. Début août, le trio enlève une première victoire en Norvège.

Le 23 août 1987, au large de l'île de Wight, leur destin va basculer. Le "Colibri" coupe le sillage d'un pétrolier. Didier ne lâche pas les gaz, l'offshore décolle à plus de 170 km/h et retombe à l'envers, tuant ses occupants sur le coup. 

Pironi, disparu à 35 ans, repose dans le petit cimetière de Grimaud, dans le Var, aux côtés de son demi-frère et cousin (!) José Dolhem, lui aussi ex-pilote (1 GP chez Surtees en 1974), qui se tuera en avril 88 aux commandes de son avion. Quelque mois plus tôt, en janvier, Catherine, sa compagne, avait donné naissance à des jumeaux baptisés Didier et Gilles. 


 

11-colibri-691x410.jpg

 




source : https://f1i.autojournal.fr/un-jour-dans-lhistoire/f1-1982-reve-brise-de-didier-pironi/#item=1

 

 

 

  • Merci 2

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Lord Brett

Une légende parmi les légendes nous a quitté,  Mauro Forghieri est décédé.

 

Rip Mauro

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Ruvo
il y a 6 minutes, geo27 a dit :

RIP Patrick Tambay 😪

 

 

Trop lisse et trop élégant pour faire une grande carrière.

Mais au ciel, il sera invité à la table des grands.....

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AR69

Quand même pas mal comme carriere!!!

Le Parisien, champion junior de ski, est arrivé en F1 à la fin des années 70, en 1977 dans l'écurie Theodore Racing, après avoir débuté par la Formule Renault et la F2 (2e du Championnat en 1975, 3e en 1976). Durant neuf saisons, il a accumulé 114 départs, avec des écuries aussi prestigieuses que McLaren (1978, 1979), Ferrari (1982, 1983) et Renault (1984, 1985), pour 2 victoires (GP d'Allemagne 1982 et GP de Saint-Marin 1983 avec la Scuderia) et 11 podiums, ainsi que 5 poles.

Au départ des 24 heures du Mans et du Paris-Dakar

Il a également connu beaucoup d'abandons (61) et n'a jamais réussi à terminer plus haut que la 4e place du Championnat, en 1983 chez Ferrari, finissant derrière le champion Nelson Piquet et deux compatriotes, Alain Prost et René Arnoux.

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