Classement


Contenu populaire

Affichage du contenu avec la meilleure réputation le 21/05/2020 dans toutes les zones

  1. 6 points
  2. 3 points
  3. 2 points
    Non a la vue de l'eclate, ils sont bien lubrifiés en parallèle de toute façon, en série ce n'est pas possible car cela voudrait dire que le 1er serait remplit d'huile sous pression pour pouvoir alimenter le second de façon traditionnelle. De plus ils sont refroidit par le liquide de refroidissement . Peut être un soucis de débit d'huile ou simplement un défaut de fabrication sur les turbos gauches .
  4. 2 points
  5. 1 point
  6. 1 point
    Cette Scuderia ... 😍😍 Et puis belle rencontre en fin de parcours 😛
  7. 1 point
    Hahaha, balade vraiment très très sympa !!! Merci 🙃 Et quel bruit ce V8!!! 😳
  8. 1 point
  9. 1 point
    Tu nous donnes le tarif ou une petite fourchette stp? Bon alors raconte,la teinte et options,km? Tu as un lien de l'annonce,des photos ?
  10. 1 point
    Merci je sais tout ça, c’était pas ma question 🙂 .
  11. 1 point
  12. 1 point
    A quelle heure? Tu le sais je les aime toutes tes voitures!
  13. 1 point
    Mais OUIIIIIIIIIII je vous adore et vous le savez bien!
  14. 1 point
    Sans vouloir être ( trop ) désagréable ce n’est pas étonnant car cela fait déjà longtemps que les MCL ne se vendent qu’en cassant les prix. Autour de 100000 euros de décote les 18 premiers mois et même des remises de 15 % ou plus sur du neuf. Même les séries limitées comme les LT perdent de l’argent ( 675 par exemple ) à comparer avec une Speciale Aperta une 599 GTO ou une F12 TDF. Je sais je vais encore me faire haïr par les MCL Boys qui ne plaisantent pas ici avec leur marque fétiche...
  15. 1 point
    Ceci dit, petite séance d'entraînement avec @Bebch pour apprendre à aller gentiment plus vite, 3 cols d'affilée 🤩😉
  16. 1 point
  17. 1 point
    T’es plus à la page ! 😅 https://www.google.fr/amp/s/www.cnews.fr/sport/2020-04-30/le-rc-lens-de-retour-en-ligue-1-les-supporters-sang-et-or-jubilent-952364%3famp
  18. 1 point
    Certainement un fan du racing club de Lens !
  19. 1 point
    Encore une extraordinaire aventure qui continue, le livre se remplit...il reste des pages😉 Un énorme merci une fois de plus à mon ami @askim2 pour m’avoir accompagné encore une fois dans ce périple vers le Sud. 4 ème Ferrari remonté du Sud Ouest, un vrai vivier pour nous les bretons 😅. Cette fois, nous avons pu faire le trajet sous un soleil radieux, ceci dit avec un levé à 4 h, ça fait une sacrée journée! Quelle joie de retrouver être Scudéria après presque trois mois! Encore plus belle, qu’il y a trois mois. En effet le film d’origine a été remplacé car vieillissant et devenu opaque. Elle brille, elle est magnifique! Retour tardif en Bretagne, trop tard et fatigué pour descendre la voiture et la ramener de chez @askim2 à chez moi. Rendez-vous est pris pour la récupérer le lendemain, hier
  20. 1 point
    Le 11, elle a sorti le bout de son nez... timidement 🙂
  21. 1 point
    quelques photos d'une partie de mes autres montres
  22. 1 point
    Un monsieur connu, pour ceux qui achetaient des livres sur les automobiles, vient de nous quitter RIP The publisher GIORGIO NADA passed away on the 6th of May 2020. Those of us who worked with him, or rather lived with him on a daily basis for over 20 years within the publishing company and elsewhere, can still see him clearly, sitting at his desk, finalising a contract, balancing the books or talking (frequently with the firmness of the businessman, but always with the elegance and cordiality of a true gentleman) to authors, journalists and the many others who joined him in his office over the years, firstly in the centre of Milan and then at Vimodrone, the current home of the firm. We too often sat in front of that desk and enjoyed a privileged front row vantage point as we gradually got to know a man driven by an authentic passion for and dedication to his work, a man who loved debate and discussion, ever ready to listen and willing to give a green light to a venture that had immediately convinced him, or to pursue a book the "market" would perhaps struggle to digest but which he liked and was determined to publish. Giorgio Nada, the two- and four-wheeled automotive publisher par excellence, the man who began his professional career by running a bookshop in Via Ulrico Hoepli in Milan, a street named after one of the most enlightened publishers of all time, had the great courage and foresight to focus in the late Sixties on automotive publishing which at that time could hardly have been more of a niche sector. Here in Italy at least, the classic car movement was in its infancy, but Giorgio Nada, a native of Alba who had already spent a number of years in London, an environment permeated by automotive culture, was looking forwards with typically Piedmontese tenacity and determination, recognising that it was only a matter of time for Italy. In 1970, exactly 50 years ago, he moved the Libreria dell'Automobile to Corso Venezia, to the ground floor of the building that still today houses the Automobil Club di Milano, becoming its manager and then buying it out three years later. From that moment Number 43 (now 45) became a mecca for generations of enthusiasts who only on those shelves could find everything offered by the motoring publishers of the time. Nada had no intention of resting on his laurels and in the second half of the 1970s realised that the time was ripe for the bookshop to publish titles under its own imprint. The Edizioni della Libreria dell'Automobile rapidly became a must. "Moto Guzzi" and "Isotta Fraschini" were among the first titles to appear before it was time to separate the publishing and retail sides of the business with the founding of Giorgio Nada Editore in 1987. The armillary sphere with the name in capital letters, inscribed between two slim light green bands, was soon to become a "brand" synonymous with culture, expertise and, once again, a passion for the automotive world. A brief statement hardly does justice to the myriad titles that have been published to date: histories of automobile and motorcycle manufacturers, official books celebrating events and anniversaries, monographs devoted to drivers, but also to historic tractors, special vehicles and more besides. Just last year, together with the "Editore", we did a few sums and discovered that we had reached the remarkable milestone of 1,000 published titles. Meeting his gaze revealed the great personal satisfaction this brought to the man and the entrepreneur. That same entrepreneur who, over the years, had acquired and conserved major photographic archives, today a vital resource for the company, providing further evidence of his vision and his passion for this world. In looking back at these episodes we have attempted to reconstruct a human, professional and entrepreneurial story that is destined to continue, its mission being to follow in the prolific footsteps of the founder. This we believe will be the most authentic way of paying tribute to our Editore, our Publisher. Thank you to all those many, many people, in Italy and throughout the world, who have demonstrated a sincere affection, friendship and attachment to Giorgio Nada and his creation in these difficult times. The staff of Giorgio Nada Editore and Libreria dell'Automobile
  23. 1 point
    Je dois nourrir mon chauffeur 😅
  24. 1 point
    voilà, grâce a PHIL348, ma belle a de nouvelles basket qui lui vont a ravir chaussée de Michelin PS4S c' est un régal a rouler , encore un grand merci a PHIL348 et a bientôt sur les routes patou
  25. 1 point
    Ce qui, si tu interroge quelqu'un qui connaît cette école (= moi) est à peu près aussi crétin que de dire que tous les petits chefs d'entreprise, ou les chefs de petites entreprises (rassure-toi, je connais aussi: mon père en était...) sont des poujadistes fascisants qui passent leur vie à gruger le FISC, tu vois? Faut se méfier des simplifications et des généralisations: y'a des gens bien partout; et des cons partout aussi. Tous les plombiers ne sont pas des voleurs; tous les responsables de petites entreprises ne volent pas le FISC, etc, etc... L'administration française nous est enviée par une bonne partie de la planète pour sa qualité et son honnêteté. Il faudrait éviter de confondre les Enarques qui choisissent de faire de la politique (1% exactement du total) avec ceux qui font ce pourquoi ils sont entrés dans cette école: administrer. Administrer des Français qui ne sont jamais content de rien, qui attendent toujours plus de l'Etat tout en voulant toujours payer moins...qui maudissent l'Etat quand tout va bien, et qui le supplient de faire tout quand tout va mal...qui ne s'assurent contre rien parce que c'est toujours trop cher, mais qui veulent être couverts contre tout quand ça va mal...qui détestent leurs élites, mais en attendent l'impossible, etc... Mais on ne va pas faire de politique. Encore que, comme je l'écrivais dans un post récent à @Yves, c'est plus de la sociologie que de la politique.
  26. 1 point
    Petit périple en fin d’aprem pour dégourdir les bielles de mamie, toujours un grand plaisir de la conduire, et des passants ravis. Quelques photos avant de la ranger au garage. Fiabilité robustesse à toute épreuve !!! FORZA !!! .
  27. 0 point
    Mais c'est quoi ce tableau? Il ne donne pas le stock en nombre mais en valeur et ce n'est pas tout à fait la même chose. toujours est-il que fin 2019 il ne restait plus que 150 millions de masques chirurgicaux et 0 FFP2 apparemment. Qui a crée l'EPRUS Roseline Bachelot et qui l'a liquidé en 2016 pour l'installer sous la tutelle de l'Agence Nationale de Santé Publique Marisol Touraine dont J.Salomon était le conseiller chargé de la sécurité sanitaire. Arrive ensuite Agnès Buzin qui le choisit comme directeur de la santé publique et de facto devient le N°2 du ministère de la santé. Je ne peux pas croire qu'ils ne savaient pas l'état des stocks de masques.