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leveneur

Ferrari 250 GTE

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Zaz
Le 21/04/2017 à 10:44, Lord Brett a dit :

C'est vrai, c'est un détail tout simple mais bien visible et indispensable.

 

On pourrait croire qu'il manque également le rappel de clignotant sur l'aile avant qui est présent sur la m^me photo mais #1287 a été présentée sans cet appendice.

 

 

En conclusion, ça fait cher la 404 bien motorisée :D

Quelqu'un connait-il le résultat de la vente ? il n'est pas encore affiché sur le site du commissaire priseur, mais pour en avoir eu une pendant 31 ans, tu es dur Brett avec ta 404 motorisée...:wub:

Quand aux détails qui différent, Pininfarina avait noté ce chassis comme " Ante-Prototipo"

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Lord Brett
Il y a 5 heures, Zaz a dit :

Quelqu'un connait-il le résultat de la vente ? il n'est pas encore affiché sur le site du commissaire priseur, mais pour en avoir eu une pendant 31 ans, tu es dur Brett avec ta 404 motorisée...:wub:

Quand aux détails qui différent, Pininfarina avait noté ce chassis comme " Ante-Prototipo"

Pas de méprise, j'adore les 250 GTE et ses descendantes (y compris les 4 "yeux"), c'est uniquement celle-ci que je compare à une 404 :P

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Lord Brett

Sinon, celle-ci était présente à Montlhéry dimanche dernier

 

Phares additionnels et pare-chocs absents depuis plusieurs années

 

flg_9110.jpg

 

flg_8313.jpg

 

flg_8314.jpg

 

 

 

 

 

 

Modifié par henri66
plauqe immat

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Zaz
Il y a 6 heures, Lord Brett a dit :

Sinon, celle-ci était présente à Montlhéry dimanche dernier

 

Phares additionnels et pare-chocs absents depuis plusieurs années

 

flg_9110.jpg

 

flg_8313.jpg

 

flg_8314.jpg

 

 

 

 

 

 

J'apprécie pas trop tes photos, non pas qu'elles soient mauvaises, elles sont très bonnes, mais parce qu'il s'agit de ma voiture vendue en Décembre 2015 à un français habitant Londres et qui n'a pas changé l'immatriculation depuis 18 mois et ça c'est pas cool

J'aurais dû y aller mais comme c'était dédié aux avant-guerre, suis resté chez moi

Je vais appeler le garage qui a fait l'intermédiaire dès demain:ph34r:

PS : je l'ai toujours trouvé plus belle sans pare-chocs ( que j'ai encore )

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Lord Brett
Il y a 6 heures, henri66 a dit :

photo avec plaque immat supprimée

Merci Henri

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Dinosaure
Il y a 21 heures, Zaz a dit :

Quelqu'un connait-il le résultat de la vente ? il n'est pas encore affiché sur le site du commissaire priseur, mais pour en avoir eu une pendant 31 ans, tu es dur Brett avec ta 404 motorisée...:wub:

Quand aux détails qui différent, Pininfarina avait noté ce chassis comme " Ante-Prototipo"

Je partage entièrement l'avis de Zaz pour avoir roulé alors que j'étais étudiant en GTE à l'époque où, d'occasion, la voiture coûtait bien moins cher qu'une 404 neuve !

 

Pour en revenir à #1287 et fait mal à la tête de Lord Brett et dont Etienne se demande ce que c'est que ce binz, l'affaire est à la fois plus simple et plus compliquée que le décrit le catalogue de cette vente à Spa.

Dans la réalité, il a existe DEUX 1287.

La première, ante-prototipo de la 250 GTE, grigio argento, cuir rouge, voiture de développement de l'usine du printemps 59 à mars 60, immatriculée au nom de Ferrari Spa le 18.11.59 (MO54083).

Signe caractéristiques : Pas d'ouïes d'ailes avant, pas de répéteurs de clignotants et surtout 7 ailettes sur les panneaux de custode.

Possiblement utilisée par Enzo Ferrari.

Puis, ce que peu de monde sait, une SECONDE 1287 apparaît fin 1960, bleu Dauphine, cuir rouge. Dans la réalité il s'agit d'une 400SA à carrosserie de 250 GT 2+1 version 1 SANS les 7 ailettes des panneaux de custode.

C'est cette seconde 1287 qui est photographiée avec Enzo Ferrari en différentes occasions avec toujours la même immatriculation MO54083 de la première.

En fait, il aurait dû s'agir de la 400SA #2257 qui récupérera l'identité (et l'immatriculation) de la première 1287, laquelle sera vendue en Italie en janvier 1961 à un ami de Enzo Ferrari, probablement sous un autre n° de châssis (possiblement 2257 ?)

Revenons à la seconde 1287 : Elle est vendue avec l'identité 1287 en France en janvier 1963, importée par Philippe Ernest qui tenait garage rue de Ponthieu à Paris. (Mais la Ferrari ne régularisera la déclaration d'exportation qu'en mars 64).

Elle est de retour à Modena (Viale Trento-Trieste) en octobre 63 pour des problèmes moteur et se voit équipée d'un bloc moteur 4 litres précédemment utilisé sur une autre voiture.

On la retrouve chez un M. Dezilie à Paris en juillet 64 (8565 QJ 75), puis avec Jan Chudzig toujours à Paris en juillet 1971, lequel se tuera avec la voiture ainsi que sa passagère lors d'un accident sur l'autoroute A13.

Et la voiture très abîmée (tonneau, toit arraché) termine à la casse dans la région de Trappes où J.B., mécanicien connu dans le monde Ferrari de l'époque prélèvera uniquement le bloc moteur et la traverse avant du châssis qui resteront longtemps stockés dans ses garages successifs avant de lui donner l'idée, bien plus tard, de reconstituer "la voiture personnelle de Enzo Ferrari" à partir du bloc moteur 4 litres et de la plaque soudée sur laquelle figurait le n° 1287 qui était sur la traverse avant

 

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Zaz
il y a 39 minutes, Dinosaure a dit :

Je partage entièrement l'avis de Zaz pour avoir roulé alors que j'étais étudiant en GTE à l'époque où, d'occasion, la voiture coûtait bien moins cher qu'une 404 neuve !

 

Pour en revenir à #1287 et fait mal à la tête de Lord Brett et dont Etienne se demande ce que c'est que ce binz, l'affaire est à la fois plus simple et plus compliquée que le décrit le catalogue de cette vente à Spa.

Dans la réalité, il a existe DEUX 1287.

La première, ante-prototipo de la 250 GTE, grigio argento, cuir rouge, voiture de développement de l'usine du printemps 59 à mars 60, immatriculée au nom de Ferrari Spa le 18.11.59 (MO54083).

Signe caractéristiques : Pas d'ouïes d'ailes avant, pas de répéteurs de clignotants et surtout 7 ailettes sur les panneaux de custode.

Possiblement utilisée par Enzo Ferrari.

Puis, ce que peu de monde sait, une SECONDE 1287 apparaît fin 1960, bleu Dauphine, cuir rouge. Dans la réalité il s'agit d'une 400SA à carrosserie de 250 GT 2+1 version 1 SANS les 7 ailettes des panneaux de custode.

C'est cette seconde 1287 qui est photographiée avec Enzo Ferrari en différentes occasions avec toujours la même immatriculation MO54083 de la première.

En fait, il aurait dû s'agir de la 400SA #2257 qui récupérera l'identité (et l'immatriculation) de la première 1287, laquelle sera vendue en Italie en janvier 1961 à un ami de Enzo Ferrari, probablement sous un autre n° de châssis (possiblement 2257 ?)

Revenons à la seconde 1287 : Elle est vendue avec l'identité 1287 en France en janvier 1963, importée par Philippe Ernest qui tenait garage rue de Ponthieu à Paris. (Mais la Ferrari ne régularisera la déclaration d'exportation qu'en mars 64).

Elle est de retour à Modena (Viale Trento-Trieste) en octobre 63 pour des problèmes moteur et se voit équipée d'un bloc moteur 4 litres précédemment utilisé sur une autre voiture.

On la retrouve chez un M. Dezilie à Paris en juillet 64 (8565 QJ 75), puis avec Jan Chudzig toujours à Paris en juillet 1971, lequel se tuera avec la voiture ainsi que sa passagère lors d'un accident sur l'autoroute A13.

Et la voiture très abîmée (tonneau, toit arraché) termine à la casse dans la région de Trappes où J.B., mécanicien connu dans le monde Ferrari de l'époque prélèvera uniquement le bloc moteur et la traverse avant du châssis qui resteront longtemps stockés dans ses garages successifs avant de lui donner l'idée, bien plus tard, de reconstituer "la voiture personnelle de Enzo Ferrari" à partir du bloc moteur 4 litres et de la plaque soudée sur laquelle figurait le n° 1287 qui était sur la traverse avant

 

Très documenté Dinosaure, bravo mais ta version différe un peu de Christian Huet me semble-t-il

En attendant quelqu'un était-il la vente, j'aurais aimé connaître le résultat de cette voiture qui doit être honteux parce qu'au final elle n'est pas vraiment "matching numbers" B)

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Dinosaure
il y a 26 minutes, Zaz a dit :

Très documenté Dinosaure, bravo mais ta version différe un peu de Christian Huet me semble-t-il

 

Il faut relire en détail l'expertise de Christian Huet tout en gardant en mémoire l'existence successive de 2 voitures ''1287''.

Christian Huet, avec lequel j'avais été en contact au moment du procès entre JB et son acheteur, a été assez élégant pour dire les choses sans dévoiler la supercherie.

Il n'est pas fréquent qu'on confirme chez Ferrari que deux voitures soient nées avec le même numéro.

Sur ce sujet précis, j'ai une conformation écrite de celui qui était en charge des archives à l'usine.

 

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bernard
il y a 25 minutes, Zaz a dit :

Très documenté Dinosaure, bravo mais ta version différe un peu de Christian Huet me semble-t-il

En attendant quelqu'un était-il la vente, j'aurais aimé connaître le résultat de cette voiture qui doit être honteux parce qu'au final elle n'est pas vraiment "matching numbers" B)

Il me semble qu'elle n'a pas été vendue ?

http://www.stanislasmachoir.com/html/fiche.jsp?id=7242128&np=1&lng=fr&npp=150&ordre=&aff=5&r=&sold=


Pour le registre des  Maranello  , je suis à la recherche de toutes informations , n° Vin , # ass et n° moteur  ainsi que la configuration !.

Suzuki Swift 1,2 GLX Hybride
Ferrari 612 Scaglietti , Grigio Silverstone /Nero

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Zaz
Il y a 13 heures, dfiordean a dit :

Je ne sais pas si ça a été posté déjà, l'histoire est très intéressante

 

 

Intéressant mais une hérésie pour moi

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dfiordean
Il y a 7 heures, Zaz a dit :

Intéressant mais une hérésie pour moi

 

On est d'accord. Il a sauvé tout de même la voiture (partiellement)

 

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Nicolas21
Il y a 20 heures, dfiordean a dit :

Je ne sais pas si ça a été posté déjà, l'histoire est très intéressante

 

 

J'avais posté le lien ici mais apparemment il a été supprimé

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bernard

Pour le registre des  Maranello  , je suis à la recherche de toutes informations , n° Vin , # ass et n° moteur  ainsi que la configuration !.

Suzuki Swift 1,2 GLX Hybride
Ferrari 612 Scaglietti , Grigio Silverstone /Nero

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tifosi101

Nul homme ne possèdera complètement une Ferrari. Il en sera juste le gardien, pour les générations futures...

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LeMans65

2.500.000€ en l'état, c'est un peu prendre les gens pour des pigeons... on surfe sur la vague de la collection Baillon

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Lord Brett
il y a 44 minutes, LeMans65 a dit :

2.500.000€ en l'état, c'est un peu prendre les gens pour des pigeons... on surfe sur la vague de la collection Baillon

Un peu chère mais au moins elle est complète châssis-moteur-boite et carrosserie. Peut-être m^me "matching numbers"

 

Contrairement à la Ellena, 500k€ sans moteur. Une Ferrari sans moteur... :angry:

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Zaz
Le 11/05/2017 à 11:23, bernard a dit :

Un certain silence radio autour de cette vente ! Rien dans les journaux, pas de résultat affiché sur le site du commissaire priseur. J'ai fini par trouver un reportage de télé belge qui annonce 550 000 €, frais compris ou non ?, loin des estimations qui étaient un peu fantaisistes

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scuderia328

C'est exact, vendue à 550 KE mais l'affaire tourne mal... pour les vendeurs.

On ne peut pas débattre sur un forum par respect pour l'acheteur.

Mais je suis sûr que l'on va en entendre parler !

 

Dans l'ensemble, il n'y a pas eu d'investisseurs à cette vente catastrophique, seulement 2 autos de vendues je crois.

Modifié par scuderia328

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scuderia328

Et pour info, un des moteurs n° 1287 est toujours aux US qui vit de jours heureux sous le soleil de la Floride installé dans une 400 SA...

Modifié par scuderia328

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Zaz
il y a 13 minutes, scuderia328 a dit :

Dans l'ensemble, il n'y a pas eu d'investisseurs à cette vente catastrophique, seulement 2 autos de vendues je crois.

Probablement la raison pour laquelle tout la presse ET le commissaire priseur n'ont pas publié les résultats ! L'expert belge dans le reportage expliquait que la Belgique n'était pas encore très prête pour ce genre de ventes...

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scuderia328

En sachant que l'une des plus grandes maisons d'enchères bien reconnue avait totalement abandonné le projet de proposer cette 1287 GT au catalogue pour les raisons que l'on connait.

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