365 GTB/4 : Les livrées de coeur !

hier à 08:18

Bonjour à toutes et tous,

Parmi les 1383 exemplaires de Daytona, 365 GTB/4, hors spider (GTS/4), en dehors des classiques, Rosso Corsa ou Berlinetta, Giallo Fly, Argento, Nero, certaines livrées sont vraiment surprenantes et remarquables (je sais, les goûts et les couleurs sont par définition très subjectifs). Donc les choix qui suivent n'engagent que moi et j'assume parfaitement.

Avant de commencer par ordre chronologique / N° châssis (rassurez-vous, il y a 24 livrées en tout et pour tout), il y a une grande majorité de teintes claires, les teintes foncées passant difficilement en photos 2D et en format réduit (difficile d'afficher une photo 3D à l'échelle 1) - c'est d'ailleurs aussi le cas des modèles réduits.

. Commençons donc par la 1^ère de toute, en l'occurrence la 1^ère Daytona de série(#12301) dans un très pastel et très clair Giallo Dino (un jaune paille voire ivoire) intérieur Blu Scuro qui tranche magnifiquement avec la teinte ''aube matinale''. Et ce avec une bande de protection en lieu et place du trait de gouge au milieu des flancs qui tranche avec la pastel (Perso, j'aurai fait sans mais cette caractéristique rarissime en rajoute à l'exclusivité de la voiture. Donc pourquoi pas ? Vous aurez la cote particulièrement élevée. Très certainement due au fait qu'il s'agisse de la toute 1^ère de cordée et à sa livrée exceptionnelle).

. La deuxième {#12357) est une vraie surprise - je vous la laisse découvrir en photo. Un hommage à une des plus célèbres 250 GT TdF 1^èresérie (la fameuse N°171) que je croyais seulement avoir été reprise par l'arrière petite fille de la Daytona (ci-joint en 3e photo).

. La troisième (#12791) est une délicieuse série I marron glacé. A goûter en toutes circonstances. Pour le coup, les teintes marron ont disparu de nos catalogues, reprenant pourtant - il faut l'avouer - des couleurs. Je peux me tromper, mais à moins de teinte sur mesure, je n'ai rien vu d'approchant dans le nuancier de la dernière Dodici Clindri.

. La quatrième (#13577), pour celles, ceux qui ont eu l'occasion de me lire, ma parle particulièrement au coeur avec cette livrée noisette (Nocciola) métalisée / intérieur vert d'eau. Du plus effet !

Je rêverai de la voir en vraie sous une belle et douce lumière automnale.

... A suivre (les photos prennent de la place. En même temps, comment faire autrement ?

hier à 08:36

...

#13577 suite. Quelle merveille !

- La cinquième (#13731) et sixième (#13745) sont toutes deux dans un immaculée mais pas si fréquent Bianco Polo avec un intérieur noir tranchant pour la première et un plus subtil vert olive pour la seconde.

- La septième (#14111) , une série I, et huitième (#14911), une série II, n'étonneront personne dans mon choix, l'oro Chiaro me tenant également vraiment à coeur. Le Giallo Montecarlo avec ses reflets mordorés peut être vue comme une réinteprétation moderne mais trop ''clinquante'' à mon goût, même si je la trouve parfaitement seyante pour la Dodici Cilindri

...A suivre

hier à 09:54

Et particulièrement vue de haut où le modernisme de la voiture transparaît nettement par rapport à son profil bien plus ''daytonesque''.

Dans une certaine mesure, et c'est certainement plus évident avec une teinte blanc nacré, la Dodici Cilindri et ses triples trièdes, ses passages de roues arrières surplombant la quasi entièreté de l'aile arrière a un petit air de Modulo.

Et d'ailleurs, ce n'est pas moi qui l'ai inventé; la citation à cette oeuvre d'art est clairement assumée par Flavio Manzani en personne.

Fermons la parenthèse.

. En parlant de Gialo, la neuvième (#14203) fait écho à la première, cette fois sans bandeau et avec un magnifique intérieur Daytona nero plus neuf que sorti d'usine !

. La dixième (#14297) n'est pas à proprement parler un coup de coeur mais sa teinte est si détonnant qu'elle méritait de figurer ici, même si je doute que ce soit une teinte d'origine, mais je me trompe peut être. @Zaz, @cheki ou tout autre expert, merci pour votre éclairage.

. La onzième (#14795), enfin met en avant une teinte bleu glacier ou bleu azur clair ou blu california, qui avec les teintes or et marron, figurent dans mon top 3, surtout si associé avec un intérieur clair. Ceci dit, la livrée officielle est intriguante avec une peinture désignée comme Argento Auteuil Metallizzato (j'ignorais qu'Auteuil était synonyme de côté d'azur pour les italiens même s'il y a pire comme lieu de résidence, même un certain trio bien connu contrairement à leur appellation scandait : ''Neuilly, Auteuil, Passy, tel est notre ghetto''

Quant à l'intérieur ''Nuvola'', littéralement nuage, je le trouve bien sombre, à moins que ce ne soit les nuages sombres qui planent parfois au-dessus d'Auteuil, les jours gris ou menaçant ! 🙂

. La douzième (#15001) met à l'honneur un rouge. Il en fallait bien un quand même. Un rouge lie de vin du plus bel effet. S'agit-il du Rosso rubino (mais il n'est pas métallisé) ?

Il serait plus proche d'un rosso Mugello, mais qui n'existait pas à l'époque. Et puis, la voiture est immatriculée 59 ! Vive les ch'tis (Même si depuis, elle a été revendue ou du moins réimmatriculée dans le département de la Seine*

Rosso Ferrari

. La treizième (#15015) n'est pas à proprement parler un coup de coeur mais plutôt un clin d'oeil au célèbre bandeau noir qui a tant fait couler d'encre depuis sa reprise sur la Dodici Cilindri (fort judicieuse à mes yeux) ainsi que sur la F80 (beaucoup plus discutable en revanche à mon avis). Je ne pense pas être le seul à avoir cette opinion ! ?

....

A suivre

*Ce qui, soit dit-en passant, est une contre-vérité, la Seine étant un confluent de l'Yonne et non l'inverse. Paris devrait donc porter le numéro 89 et non 75 mais c'est une autre histoire.

hier à 10:59

il y a une heure, 4.9. Superfast a dit :

La dixième (#14297) n'est pas à proprement parler un coup de coeur mais sa teinte est si détonnant qu'elle méritait de figurer ici, même si je doute que ce soit une teinte d'origine, mais je me trompe peut être. @Zaz, @cheki ou tout autre expert, merci pour votre éclairage.

pour ta gouverne, produite le 19 mai 1971, elle était Rosso Rubino

hier à 11:31

suite

. La quatorzième (#15053) est dans un étonnant Verde bahram / intérieur beige. Cette teinte, inconnue au bataillon, reprend un peu le Verde Toscane, (magnifique) teinte de lancement de la Dodici Clindri spider, même si un poil plus clair (ne pas tenir compte de la 4^e photo, la voiture ayant été malheureusement repeinte dans un plus convenu bleu marine.

. La quinzième (#15735) tout comme la #15001 est d'un très beau rouge foncé, associé cette fois à un intérieur ''tan'' (cuir naturel).

. Avec la séizième (#15747) et dix-septième [#15981), nous revenons dans les couleurs de prédilection : Nocciola et Marrone Metallizzato avec intérieur cuir beige pour les deux.

. la dix-huitième (#16321) revient à l'origine avec un Giallo Dino, jaune très pâle, un pastis très dilué (je ne sais pas pourquoi je prends cette image, détestant personnellement le goût de l'anis), mais cette fois associé à un intérieur rosso scuro

....

A suivre

hier à 12:12

. la dix neuvième (#16481), n'étant certes pas le parangon du meilleur goût, mais juste pour prouver que les bandes tricolores italiennes ne datent pas d'hier 🙂

. la vingtième (#16493) est autrement plus intéressante et doit être en réalité, à la lumière du jour, à couper le souffle avec un Marrone colorado qui s'apparente en fait plutôt à un mauve (est-ce qu'en été les cimes du Colorado se parent de mauve ?) mais rien à voir avec le viola dino ou le plus récent violet hong-kong et le tout avec un intérieur rouge clair

. la vingt et unième (#16579), la vingt deuxième (#16701) et la vingt-troisième (#16927) sont une ode au fameu bleu clair / ciel / azur métallisé avec un combo blu dino/blu chiaro daytona pour la première, Azzuro/Nero pour la seconde et Blu-Dino solchi (?)/sable pour la troisième.

...

suite & fin

hier à 15:06

Et enfin à tout seigneur, tout honneur : voici la vingt-quatrième (voiture, pas heure), à savoir sa Majesté la #17019 dans une sublime livrée Verde Medio metallizzatto / intérieur marrone et moquette marron orangé.

Mise à l'encan par la maison Artcurial, sous le marteau d'Hervé Poulain, assisté de Matthieu Lamoure et de son acolyte Pierre Novikoff , cette voiture a fort logiquement ateint son plafond maximum à près de 850 K€.

Un vrai plaisir pour les yeux.

1974 Ferrari 365 GTB/4 Daytona par Scaglietti

En clin d'oeil, j'ai configuré une Dodici Cilindri ''Tribute to #17019''. Pour bien faire, il faudrait remplacer le Verde Toscana par le Verde Medio en ''Paint to Sample'' (j'ai un doute quant à l'appelation; je confonds peut être avec Porsche Exclusive, mais vous m'avez compris : il s'agit de faire appel au ''Tailor Made'').

hier à 15:08

suis né trop tard et trop pauvre ...

elle m'aurait bien plu cette daytona verte

hier à 15:30

''. La deuxième {#12357) est une vraie surprise - je vous la laisse découvrir en photo. Un hommage à une des plus célèbres 250 GT TdF 1^èresérie (la fameuse N°171) que je croyais seulement avoir été reprise par l'arrière petite fille de la Daytona (ci-joint en 3e photo)''

> De ce point de vue, Ferrari aurait prévu en Tailor Made une Dodici Cilindri en bleu pastel (Azzuro Plata) avec une bande rouge (et non tricolore). Du moins, ce modèle est déjà en précommande chez BBR sous la ref P18248L à un prix bien plus raisonnable que la vraie !

Ferrari 12Cilindri Coupe (Azzurro La Plata) 1/18 BBR P18248L

Nota : Petite précision, je n'ai aucun intérêt commercial avec le site en question, mais en tant que client, je ne peux que me féliciter jusqu'à présent des produits que j'y ai commandés.

il y a 23 heures

Impressionnant, cette recherche et ce travail. Et passionnant. Merci.

il y a 8 heures

Merci Auguste !

Quand je vois la belle Ferrari que tu possèdes, je ne peux m'empêcher de penser à la fameuse Grigio Ingrid mise au point par Pinin Farina pour la 375 MM # 0456 AM.

Présentée pour la première fois au Salon de l'auto de Paris en 1954, cette 375 MM est équipée d'une carrosserie unique conçue et construite par Pininfarina. Parmi ses caractéristiques les plus marquantes, citons les phares rotatifs, les dérives sur les ailes arrières et surtout l'échancrure sur les flancs qui partent de la ligne arrière du passage de roue avant s'étirant en pointe galbé jusqu'au delà de la naissance de la porte et intégrant une triple sortie d'air matérialisé par trois panneaux incliné de haut en bas donnant l'impression d'une voiture en mouvement. La voiture a été commandée par le réalisateur

Présentée pour la première fois au Salon de l'auto de Paris en 1954, cette 375 MM est équipée d'une carrosserie unique conçue et construite par Pininfarina. Parmi ses caractéristiques les plus marquantes, citons les phares rotatifs et les dérives sur les ailes arrières. Il aurait été commandé par le réalisateur Robert Rossellini pour son épouse, l'actrice suédoise Ingrid Bergman, et même si elle n'a jamais pris livraison de la voiture, le châssis 0456AM est encore communément appelé le " Bergman Coupe ". Son mari, l'a brièvement utilisée avant qu'elle ne soit vendue aux États-Unis.

Roberto Rossellini aurait commandé cette teinte spéciale ''gris or'' en hommage à la couleur des yeux de l'actrice (difficile d'en juger sur les photos noir et blanc). Sa blondeur en est peut-être aussi inspiratrice.

Près de 50 ans plus tard, la 612 Scaglietti a repris l'échancrure de la 456 Bergman de manière moins tranchée mais plus encore étendue (depuis les techniques d'emboutissage mécaniques ont remplacé la main de l'homme et ont nettement progressé). Certaines mauvaises langues y ont vu dans ce trait de style un moyen d'atténuer l'empattement très (trop) long de la voiture (avec 2950 mm vs 2600 mm pour la 456, soit près de +15% et 2750 mm pour la 599 suivante).

De fait, alliant le geste à la parole, la couleur de lancement de la 612 Scaglietti était le grigio Ingrid, remis au goût du jour (et depuis régulièrement proposé en teintes spéciales - c'est le cas notamment pour la Dodici Cilindri - j'ai commandé ma version spider (au 1/43^e chez Looksmart) dans cette teinte.

De fait, j'ai craque à l'époque pour cette version chez Red Line (marque françsaise dédiée à Ferrari chez Spark, disparue depuis du fait des droits de repro excessifs, l'italienne Looksmart), et ce à côté du bleu moyen, couleur de lancement de la 456 reprise sur la 612 (de chez Provence Moulage, marque française renaissante mai redisparue depuis).

Je n'avais pas pu rater non plus les 612 du Tour de Chine, soeur siamoise en rouge nez gris et inversement avec un logo Ferrari hypertrophiée.

Nous étions loin de la croisière jaune des Citroën Kegresse P17 des années 30, mais il s'agissait bien de prouver la fiabilité et l'adéquation de la gamme Ferrari aux routes du continent asiatique. Qui depuis est devenu son second marché. Et la tendance ne risque pas de renverser avec la montée en puissance du Purosangue.

Enfin pourquoi associer Scaglietti à cette 612 ?

Sergio Scaglietti, homme de l'ombre, loin de la flamboyance de Battista Farina et du charisme de son fils Sergio Farina, a compté parmi les plus fidèles collaborateurs d'Enzo Ferrari. Enzo l'avait rencontré en 1939 par hasard dans l'atelier où travaillait Scaglietti, qui était alors un simple carrossier chargé de la réparation des ailes des voitures de course. Avec son oeil aiguisé, le commendatore remarqua une Alfa 12 cylindres réparée et modifiée par Scaglietti, avec divers changements dans les ailes et les phares, donnant au véhicule une ligne aérodynamique et futuriste. Intrigué et fasciné, Ferrari commença alors à envoyer à Scaglietti tous les pilotes et les clients ayant besoin d'une réparation pour leurs voitures, lesquels ne purent faire autrement que de confirmer la qualité de son travail.

Scaglietti présentait aussi l'avantage d'avoir installé des ateliers situés à quelques encablures de l'usine de Maranello. Aussi, très discrètement mais toujours avec beaucoup de brio, ses équipes ont-elles façonné, sous son égide, les plus belles carrosseries des bolides, Pinin Farina puis Pininfarina se focalisant sur les voitures de route.

Ainsi 250 GTO, 250 LM, 330 P4, 312 PB ... sont-elles nées de la main des géniaux carrossiers de chez Scaglietti.

En 1975, alors que Sergio était âgé de 55 ans et Enzo de 77 ans, l'un et l'autre, conscient du temps qui passe décidèrent d'unir leur destinée, après plus de 35 années de collaboration; Ferrari devenant actionnaire largement majoritaire des ateliers Scaglietti.

Pour autant, Pininfarina, de par son génie créatif et son aura, resta le ''fabricant'' quasi monopolistique des carrosseries des Ferrari de route.

Seulement en 1996, ce dernier signa avec Peugeot, son autre grand partenaire le contrat du siècle, avec la construction exclusive du beau Coupé 406. Alors travaillant avec la direction des relations externes du constructeurs sochalien, je vécus de l'intérieur cette période, à la fois passionnante et fondatrice de nombreux changements dans les rapports du carrossier turinois.

Le fait est que Peugeot tout comme Pininfarina furent totalement surpris par le succès de la voiture.

Initialement calibrée pour 120 voitures / jour, la ligne d'assemblage chez Pininfarina s'avèra très rapidement dépassée, d'autant que les standards qualité exigés par les nombreux contrôleurs de chez Peugeot dépêchés sur place abaissaient sensiblement les cadences.

Face aux commandes atteignant les 200 exemplaires / jour (et encore Peugeot s'était limité au seul marche européen, refusant les demandes du Mercosur, de l'Afrique du Nord et même du Japon) et au délai de commande dépassant les neuf mois, Peugeot demanda à son partenaire de bâtir une seconde ligne - ce dernier s'éxécuta.

Face à cette surcharge, Ferrari, conscient de ne plus compter parmi les priorités du carrossier de Grucliasco, décida alors dès l'industrialisation de la remplaçante de la 456, de l'assembler sur les chaînes de Scaglietti. On comprend mieux dès lors le nom ''hommage'' de la voiture.

La suite est connue : Peugeot, conscient d'avoir perdu de nombreuses ventes de par les limites industrielles de Pininfarina*, décida pour sa remplaçante de réinternaliser la production (Bien mal leur en prit**, la 407 Coupé et son porte à faux monstrueux et des déflecteurs avant de vitre ayant de très loin la grâce de la 406 Coupé, assurément un futur collector, même si les volumes très importants limiteront l'envolée des prix, sauf pour les livrées rares tel que le Jaune louxor et le Beige solstice avec intérieur abricot).

Ce fut aussi avec le départ de Gérard Welter, patron du style Peugeot et grand supporter, voire fan de Pininfarina et de Ferrari (Il avait sur son bureau une maquette d'une 250 GT SWB) l'arrêt de plus de cinquante ans d'une très fructueuse collaboration (allant de la 403 à la 1007).

Par ailleurs, Ferrari, avec la Scaglietti, apprit à internaliser ses ''petites'' série et depuis 599, F12,812 et dernièrement Dodici Cilindi

Et après la disparition de Sergio Pininfarina en 2012 que son père avait désigné comme ''chef de projet'' des Ferrari made by Pinin et qu'Enzo appréciait tout particulièrement, l'ayant adopté comme un fils spirituel, la collaboration de plus de soixante ans (1951-2013) prit fin, non sans un dernier hommage via la barquette SERGIO.

Focus sur : La Ferrari 612 Scaglietti, héritière d'une mythique lignée - Absolutely Cars

Enfin bravo pour ton choix !

*Au total, entre 1997 et 2004, Peugeot vendit 107 631 coupés 406 pour un contrat initial de 70 000 véhicules avec Pininfarina (soir + 54% tout de même) mais selon certaines sources internes, la marque au lion aurait largement pu vendre 150 000 voitures, voire 200 000 si les ventes avaient été étendues au Mercosur, Afrique du Nord et Asie.

**Entre 2005 et 2011,Peugeot ne vendit que 35 824 407 Coupé, soit 3 fois moins que de 406 made by Pinin.

il y a 7 heures

Avant de commencer, en conclusion de mon post précédent et pour illustrer l'entente entre Enzo et les (Pinin)Farina, je voulais poster cette photo prise sur le fait, les deux aînés Enzo et Battista, stylo à la main (s'agissait-il d'une signature d'un contrat ?) et le jeune Sergio étudiant sagement un article.

Sinon, tout autre sujet, et désolé pour les puristes réfractaires aux influenceurs de tout poil - et je comprends parfaitement. D'autant que leurs commentaires, plus bâti à partiri d'onomatopée ou d'expression toute faite (''Aberrant Frérot !) est souvent affligeant et que le goût des livrées de leurs véhicules ''de rêve'' (sauf si prêtés par les constructeurs) est plus que douteux.

Sauf qu'ici c'est loin d'être le cas.

C'est même une illustration parfaite de l'intérêt des teintes or et intérieur clair (cf.#14111 et #14191) remise au goût du jour.

SCHMEE 150, puisque c'est de lui qu'il s'agit, a sciemment configuré auprès de ''Passione Ferrari'', le concessionnaire sis au milieu du circuit de Silverstone, sa Dodici Cilindri en Oro Chiaro et intérieur Créma / Iroko.

Je vous laisse juge du processus de réception (toujours un peu égocentrique) mais surtout des belles prises de vue.

Juste une remarque : l'oro chiaro de 2025 me semble plus ''jaune'', plus ''chaleureux'' que celui de 1972. A moins que ce ne soit la différence d'exposition et du grain de la photo.

Toujours est-il que j'applaudis des 2 mains?

(317) ÇA Y EST ! Je récupère ma nouvelle Ferrari 12 cylindres - YouTube

Et vous, qu'en pensez-vous ?