0
Roro

Vente Acturial en marge de rétromobile 2013

Messages recommandés

Roro

Pour les amateurs d'anciennes:

Vers Marseille ils ont trouvé un trésor dans un garage oublié.

250 GT Cabrio série II avec son Hard top, une petite photo de l'article

Belle affaire à suivre

post-2095-13610121145966_thumb.jpg

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
LUDO

La fameuse vente aux enchères Artcurial revient pour Rétromobile 2013, toujours sous le marteau de Maître Hervé Poulain. Le record de 2012 sera-t-il battu ?

S’il y a une vente aux enchères qui a marqué les esprits en France l’année dernière, c’est bien celle d’Artcurial qui s’est déroulée en marge du salon Rétromobile. Le rendez-vous annuel des passionnés de voitures de collection abritait en effet en son sein certains des véhicules les plus désirables de la planète, tous destinés à passer sous le marteau de l’ancien coureur automobile et fondateur des mondialement connues "Art Cars", Maître Hervé Poulain.

Et pour cette deuxième année de ventes aux enchères Artcurial à Rétromobile, des sommets ont été atteints puisque le record historique de tous les temps en France a été battu: une Ferrari California a trouvé preneur pour 4,5 millions d’euros!

Plus de 100 voitures en vente

Paris s’étant ainsi inscrit comme l’une des places fortes pour les grands collectionneurs internationaux, la vente Artcurial revient pour cette édition 2013 de Rétromobile (6-10 février). Au programme, plus de 100 voitures de collection dont quelques exemplaires rarissimes. On trouvera ainsi une Talbot T150C de 1936, star des courses d’endurance d’avant-guerre, trois fois lauréate aux 24h du Mans, estimée entre 1,2 et 1,6 million d'euros.

Autre star de la vente, une Ferrari 250GT cabriolet Pininfarina Série 2 avec hardtop de 1962 (photo), découverte dans le sous-sol d’un immeuble marseillais et n’affichant que 15.000 km. De quoi justifier son estimation entre 600.000 et 800.000€.

La Testarossa d'Alain Delon

Parmi les autres modèles d’exception, on citera cette Bugatti EB 110 SS de 1995, la dernière produite avec 14.000 km d’origine, estimée entre 380.000 et 480.000€. Aux côtés d’une Fiat 8V Vignale de 1953 (750.000-850.000€) et d’une VW Coccinelle de 1985 avec 125 km (!!) d’origine (16.000-24.000€), Alain Delon mettra en vente sa Ferrari Testarossa.

Enfin quelques collections privées seront mises en vente comme celle d’un concessionnaire Peugeot en Allemagne incluant 8 Citroën de collection dans des états concours et une Peugeot 402 Eclipse, l’une des 29 répertoriées, estimée entre 170.000€ et 240.000€.

Rendez-vous le 6 février

Maîtres Matthieu Lamoure et Hervé Pulain vous donnent donc rendez-vous au Parc des Expositions de Paris – Porte de Versailles, le vendredi 6 février, à partir de 14h pour la vente Automobilia et 18h pour la vente motocyclettes et voitures de collection.

Retrouvez le catalogue de la vente Artcurial sur le site de la prestigieuse maison d’enchères.

Source : http://news.autoplus.fr/news/1462185/R%C3%A9tromobile-vente-aux-ench%C3%A8res-Artcurial-Ferrari-records

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Jean66
Jacques

Une autre explication du marché..Ces lignes peuvent faire réfléchir !

 

"De plus en plus nombreux sont ceux et celles à penser que l'envolée spectaculaire des prix des oeuvres d'art et des automobiles dites "de collection" est en partie alimentée par le recyclage d'argent "sale"..., il n'est toutefois pas toujours simple de repérer les pratiques douteuses, favorisées par l'opacité de ces milieux et l'anonymat des enchères...

Très peu de journalistes et aucun journaleux n'ont osé poser la question que je pose souvent et qui fâche, en suite des vertigineuses ventes sur le marché de l'art et des automobiles dites "de collection" : "Tout ce barnum débilitant est-il devenu une entreprise criminelle ?"...

En tout cas, personne n'est aujourd'hui capable de donner une explication pertinente sur ces créations de valeurs astronomiques... et l'adjudication (16 millions d'euros) d'une Ferrari California à l'état d'épave lors de la vente Artcurial qui s'est déroulée en février 2015 à Rétromobile, ne fait que relayer une hypothèse de plus en plus souvent formulée face à la flambée délirante du prix des oeuvres d'art et des automobiles dites "de collection"... 

Certes, les grandes fortunes se sont multipliées sur la planète... et l'art ainsi que les automobiles anciennes sont devenu un signe d'appartenance à un cercle fermé..., mais cela suffit-il à justifier de telles envolées ? 

La fiscaliste Virginie Heem et l'expert David G. Hotte ont leur petite idée sur la question : "Le commerce des oeuvres d'art et des automobiles dites "de collection", est l'un des moins contrôlables qui soit. L'identification des objets est particulièrement délicate; la valeur d'un objet est souvent subjective, donc difficile à déterminer. Les sommes en jeu sont considérables. Les opérations de blanchiment et de fraudes fiscales sont courantes et peuvent avoir pour conséquence une hausse soudaine et parfois inexpliquée des prix du marché", analysent-ils dans leur ouvrage : La Lutte contre le blanchiment de capitaux.

Peu réglementé, liquide, discret, avec ses ports francs à l'abri des regards et des taxes, le marché de l'art et des automobiles dites "de collection" a de quoi séduire les fraudeurs de tous calibres..., selon l'Association for Research into Crimes against Art, il rapporterait 6 milliards de dollars environ par an via les filières classiques que sont les ventes aux enchères..., de plus, des transactions de plusieurs millions de dollars peuvent avoir lieu en secret, entre des partenaires parfois anonymes, voire virtuels, via Internet. 

Le 30 avril 2014, le juge new-yorkais Jesse Furman infligeait une amende de 6,4 millions de dollars au marchand d'art Helly Nahmad et l'expédiait en prison pour un an..., nul doute que Jesse Furman ait voulu faire un exemple, car Helly Nahmad appartient à l'une des familles les plus puissantes du milieu de l'art, à la tête d'une collection évaluée à 4.500 oeuvres et 3 milliards de dollars, largement conservée dans le port franc de Genève... 

Accusé de paris clandestins illicites et de blanchiment, en lien avec le crime organisé, pour une centaine de millions de dollars, il a admis avoir accepté des paris entre amis : un membre de la mafia russe, des sportifs, des stars de cinéma, des banquiers de Wall Street... 

Quelques heures après sa plaidoirie, il assistait à une vente aux enchères chez Christie's : de quoi agacer le juge, lequel a dû aussi apprécier qu'une douzaine de collectionneurs et de galeristes de renom volent au secours de l'accusé d'une manière parfois surréaliste, tel Marc Glimcher, président de la Pace Gallery, écrivant à la cour : "C'est la personne la plus honnête et la plus digne de confiance avec laquelle j'ai eu le privilège de travailler"...               

En mai 2013, une malle en provenance de Londres, censée contenir un tableau de 100 dollars mais cachant en réalité un Basquiat, "Hannibal", évalué 8 millions de dollars, était interceptée à l'aéroport international Kennedy, dans le cadre de l'affaire Edemar Cid Ferreira, un ancien banquier brésilien ayant blanchi des milliards de dollars en achetant une collection de 12.000 œuvres. 

"Hannibal" a rejoint l'entrepôt où les autorités fédérales avaient déjà stocké des Matisse, Warhol, Rothko, Hirst..., acquis par l'avocat radié du barreau Marc Dreier pour recycler une partie des 700 millions de dollars détournés aux dépens d'investisseurs.

Dans l'autre sens, en juin 2014, un containeur en provenance de Miami censé contenir une Ferrari 250 GTO de 20 millions de dollars, acquise dans une vente aux enchères, était bloquée à Rotterdam..., elle s'est avérée n'être qu'une réplique de Ferrari 250 GTO, évaluée 300.000 dollars, ce qui a permis de remonter une filière de marchands escrocs en automobiles haut-de-gamme..., le "truc" étant d'acquérir la fausse Ferrari chez des spécialistes du faux, à sa valeur réelle (300.000 dollars) et de la placer dans une vente aux enchères ou plusieurs complices faisaient monter les enchères jusqu'à 20 millions de dollars, payés au commissaire-priseur et versés ensuite au propriétaire de la "Ferrari" qui réalisait ainsi un blanchiment de 19.700.000 dollars moins commissions et "frais" d'usage...

Cette technique fort usitée avec les Bugatti, Ferrari et Maserati a, en cette suite, jeté un doute sur la réalité des valeurs "données" à des automobiles... et, l'aspect "réplica" de celles-ci étant trop sujet à doutes, ce marché s'est tourné vers les "sorties de grange", permettant des "sur-valeurs" extraordinaires au départ de véhicules ne valant pas grand chose !

Y ajouter une couche en parlant d'automobiles-œuvres-d'art "dans leurs jus", authentiquement anciennes..., telle par exemple que la Ferrari California adjugée 16 millions d'euros... pour arriver à justifier des valeurs 5 fois plus élevées que le même modèle coûteusement restauré, est une sorte d'injure à la plus médiocre intelligence... que de grands discours sur l'art, débités de manière souveraine à des parterres d'imbéciles d'où émergent quelques rares initiés (hilares) sont censés avaliser...

Pour nettoyer l'argent sale, plusieurs techniques.
Il y a la fausse facture, bien sûr..., le New York Times rapporte une conversation téléphonique durant laquelle Helly Nahmad, alors sous enquête du FBI, suggère à une cliente de virer 150.000 dollars sur le compte de son père, également marchand : "Quelquefois, une banque a besoin d'un justificatif pour un virement. Nous pouvons dire que vous avez acheté une peinture"...

Il y a aussi la fausse enchère..., un trafiquant met sous le marteau une oeuvre et remet à ses comparses une somme d'argent suffisante pour emporter les enchères..., la vente terminée, le trafiquant reçoit un chèque propre au nom de Christie's, Sotheby's, Coys, Artcurial etc..., son complice lui restitue le tableau (ou la voiture) et perçoit sa commission.

C'est une pratique utilisée dans les affaires de corruption : "Pour remporter le contrat d'un gazoduc, j'ai besoin du soutien d'un élu. Combien veut-il ? Un million ? C'est délicat ces dessous-de-table. Alors je lui donne un tableau, vrai ou faux, peu importe, qu'il met aux enchères, et des complices vont surenchérir jusqu'à cette somme. Et lui touche un chèque de la maison de vente"..., explique un professionnel.

Encore plus anonyme : les grandes maisons acceptent les enchères par téléphone ou sur ordre, pour des lots de plus d'un million d'euros, à condition de laisser un chèque de dépôt conséquent..., le trafiquant obtient ce titre d'une banque complaisante, n'achète finalement pas le tableau, mais se voit établir un chèque d'une institution reconnue en restitution de son dépôt..., il est même possible de blanchir et de spéculer à la fois : on achète 5 toiles de Warhol ou 5 Ferrari..., on en met une aux enchères, dont on fait monter le prix avec des comparses, quitte à la racheter soi-même, peu importe, les 4 autres verront leur valeur grimper !

Les maisons de vente aux enchères sont peu bavardes sur le sujet..., Christie's et Sotheby's affirment prendre toutes les mesures nécessaires, d'autant que la seconde est cotée en Bourse, mais impossible d'en obtenir le détail..., pas question de dissuader les vendeurs ou acheteurs potentiels, dans un contexte de concurrence féroce... 

Il suffit de voir à quel point, en France, les déclarations de soupçons auprès de Tracfin, l'organisme public de lutte contre le blanchiment, sont rares : moins d'une dizaine par an pour les maisons de vente, aucune pour les galeristes ou antiquaires. 

"Peut-être que Tracfin n'y met pas les formes, n'a pas assez de moyens, ne communique pas assez. Mais on ne demande pas non plus aux commissaires-priseurs de jouer les Sherlock Holmes !"..., souligne Catherine Chadelat, la patronne du Conseil des ventes volontaires (CVV), l'organisme de régulation de la profession en France.

A méditer encore, la violence avec laquelle Jean-Pierre Osenat, président du Symev, le syndicat des maisons de vente, a répondu dans une lettre ouverte à la même Catherine Chadelat, lorsque celle-ci, dans un entretien au Figaro, s'est permise de rappeler aux acteurs leurs obligations de transparence.
"Quel besoin de créer une polémique infondée et stérile ? Les missions du Conseil des ventes sont-elles désormais à ce point vaines qu'il lui faut s'en inventer de nouvelles ?"... 

Jean-Pierre Osenat, confiait pourtant aux Echos en 2012 que "toute ombre sur l'image d'un commissaire-priseur rejaillit sur toute la profession"..., en référence à Claude Aguttes, star du marteau et président de Drouot Enchères, alors suspendu d'activité deux mois par le CVV pour avoir manqué de vigilance quant à la provenance d'un tableau et à l'identité de son propriétaire. 

Ce commissaire-priseur avait adjugé 37.000 euros un paysage attribué par un expert en peinture russe véreux, Dan Croissard, à l'artiste Yvan Chichkine..., l'acheteuse ayant eu des doutes, une enquête avait mis en évidence des intermédiaires au Luxembourg, au Liechtenstein, aux îles Barbades... 

"On prend toutes les précautions mais il n'est pas toujours simple pour les acteurs du marché 
de repérer les pratiques douteuses"...,
 précise-t-on chez Christie's. 
Toutes ? 
Dans l'affaire dite des "biens mal acquis" par des chefs d'Etat africains, suite à une plainte déposée par Transparency International France, une perquisition a été menée en février 2012 chez Teodorin Obiang, fils du président de Guinée équatoriale (mis en examen depuis) : on y a trouvé des oeuvres d'art achetées en 2009 lors de la vente de la collection Yves Saint Laurent-Pierre Bergé pour plus de 18 millions d'euros et payées par la Somagui Forestal, société forestière sous contrôle de son père, pourtant, la plainte était antérieure à la vente...
http://www.gatsbyonline.com/main.aspx?page=text&id=1334&cat=auto

"Dans toute transaction, la parade, c'est bien évidemment de connaître le vendeur et surtout d'éviter les espèces"..., observe Alain Cadiou, PDG de Piasa et ancien patron de Tracfin..., en France, les professionnels doivent refuser tout paiement en liquide supérieur à 3.000 euros de la part d'un habitant de l'Union européenne et à 15.000 euros pour ceux des autres pays..., le CVV a ainsi suspendu également pour 15 jours l'an passé la maison Gros & Delettrez, où officie le président de Drouot Holding, Georges Delettrez..., son associé, Henri Gros, avait accepté un paiement en espèces de 200.000 euros d'un acheteur chinois. 

Les acteurs du marché sont aussi censés vérifier l'identité du vendeur, y compris sur le plan bancaire, conserver ces éléments cinq ans, et s'enquérir de l'identité du bénéficiaire, surtout s'il n'est pas présent aux enchères, pour repérer les sociétés écrans. 
 
"La France et la zone euro disposent des outils de contrôle et de régulation les plus forts au monde", se félicite Nicolas Orlowski, le président d'Artcurial..., revers de la médaille, ces tracasseries contribueraient à gonfler les ventes aux enchères à Londres, New York ou Hong Kong, plutôt qu'à Paris, ou expliqueraient la concentration des adjudications de bijoux à Genève et Monaco... : "Aujourd'hui, les gouvernements du monde entier prennent des mesures pour lutter contre le blanchiment, en mettant en place des organismes comme Tracfin, à l'exception des paradis fiscaux", note Alain Cadiou..., "mais la réglementation variant selon les pays, les investigations sont difficiles à coordonner à l'échelle internationale"...

En février 2013, la Commission européenne a voté une loi demandant de mentionner tout achat d'une oeuvre dépassant 7.500 euros en espèce, et toute transaction douteuse... et les Etats-Unis exigent de signaler toute transaction en espèces dès 10.000 dollars. 

Partout le blanchiment est passible de peines de prison..., mais en Chine, second marché de l'art après les Etats-Unis, l'opacité règne et la plus grosse maison de vente, Poly, loin de donner l'exemple, se refuse à plus de transparence. 

"Là-bas, il n'y a pas de limite au paiement en cash. 30 à 50 % des ventes d'art s'y apparentent à du blanchiment", observe un commissaire-priseur..., cela pourrait expliquer pourquoi les antiquités chinoises comme les oeuvres d'artistes contemporains chinois pulvérisent régulièrement les estimations les plus folles..., ou qu'aux dernières ventes d'art moderne et contemporain de New York, le tiers des achats émanaient de clients asiatiques, principalement chinois.

En résumé : Alors que le marché de l'art flambe, l'hypothèse selon laquelle le blanchiment d'argent contribuerait à faire grimper les prix à des niveaux stratosphériques est de plus en plus souvent émise..., si les gouvernements du monde entier prennent des mesures pour lutter contre la fraude, les investigations restent difficiles à coordonner à l'échelle internationale... et, en Chine, deuxième marché de l'art après les Etats-Unis, la plus grande opacité règne, certains experts estiment que 30 à 50 % des ventes d'art s'y apparentent à du blanchiment..."

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Calif60

Effectivement ça fait delà lecture ......

Pour faire une vente chez acturial ou d'autre il faut montrer patte blanche la preuve d'achat de l'auto et la différence passe direct en plus valu

Donc impôt payée ....

Pour l'achat ce n'est pas le commissaire priseur la blanchisseuse mais le banquier qui transforme du liquide en argent électronique ....

Il y a certainement du blanchiment via les banques mais sur un petit nombre de voiture, l'ensemble des voitures sont vendues à des collectionneurs qui ne font pas parti des mafias ....

Un article bien à charge du monde opaque de l'art et des banquiers

Les voitures ont des particularités que ne possèdent pas les tableaux, bronzes et autres !!!! On peut sortir dans la rue avec même quand ça vaut un bras

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Etienne

Pas tout lu...je me suis arrêté à cette histoire de fausse GTO pour laquelle il était envisagé de faire monter frauduleusement les enchères à 20 mio$ : c'est vraiment du n'importe quoi quand on connait ne serait-ce qu'un tout petit peu la valeur de cette voiture.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
dragon1964

On mélange, mais ça ne m'étonne pas par les temps qui courent, l'argent mafieux provenant des différents trafics, drogue, être humains, rackets et autres activités criminelles, à celui provenant de la fraude fiscale!!!

 

Si cette dernière est condamnable, je ne place pas personnellement les fraudeurs fiscaux sur le même plan que les organisations criminelles. A l'heure ou l'on parle souvent d'amalgame, dans ce cas précis il est fait et délibérément par les politiques et leurs laquais, les journaleux !!! 

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

0