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syka31

Légendes De La F1

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tonton enzo
il y a 8 minutes, geo27 a dit :

Il est dcd 😢

 

RIP

😪😪😪

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RedDreams

Encore un Grand Seigneur qui s'en va... 😔

https://fr.motorsport.com/f1/news/deces-carlos-reutemann/6627343/

Citation

Carlos Reutemann, vice-Champion du monde de Formule 1 en 1981, s'est éteint à l'âge de 79 ans. Il a couru pour les plus grandes écuries de son époque.

Carlos Reutemann est décédé

 

Hospitalisé dans un état grave depuis plusieurs jours, Carlos Reutemann est décédé ce mercredi 7 juillet en Argentine, à Santa Fe. Âgé de 79 ans, il avait terminé vice-Champion du monde en 1981 derrière Nelson Piquet. 

 

En proie à plusieurs problèmes de santé, et victime de plusieurs hémorragies intestinales depuis le mois de mai ainsi que d'une insuffisance rénale, Carlos Reutemann se battait depuis plusieurs semaines pour rester envie et a passé de nombreux jours en soins intensifs. Après un bref retour chez lui, il avait de nouveau été admis à l'hôpital à la fin du mois de juin. Depuis qu'un cancer du pancréas lui avait été diagnostiqué en 2017, ses apparitions publiques étaient devenues rares. 

 

Carlos Reutemann incarne le succès du sport automobile argentin, dont il est l'un des plus beaux palmarès après avoir notamment suivi les traces de l'immense Juan Manuel Fangio ou de José Froilán González. Il a connu une carrière de dix ans en Formule 1, disputant 146 Grands Prix pour 12 victoires, six pole positions et 46 podiums. Il a couru pour les plus grandes équipes de son époque, Brabham, Ferrari, Lotus et Williams, et parmi ses plus beaux succès on pense inévitablement au Grand Prix d'Allemagne 1975 sur la Nordschleife ou au Grand Prix de Monaco 1980. 

 

En 1981, sous les couleurs de Williams, il a terminé à un point de Nelson Piquet après avoir mené le championnat pendant la majeure partie de la saison. Il a également terminé troisième du classement final au terme des saisons 1975. 1978 et 1980. 

 

Après avoir quitté la F1 au début des années 80, Carlos Reutemann s'est essayé avec succès au WRC, terminant deux fois sur le podium en Argentine, puis après sa carrière de pilote, il s'est tourné vers la politique. Il a ainsi exercé deux mandats de gouverneur dans la province de Santa Fe et aurait même eu la possibilité d'être candidat à la présidence de l'Argentine en 2003, opportunité qu'il a toutefois déclinée. Il était encore sénateur à ce jour. 

 

"Papa est parti dans la paix et la dignité après s'être battu comme un champion avec un cœur fort et noble qui l'a accompagné jusqu'au bout", a annoncé ce mardi sa fille Cora. "Je suis fière et bénie de l'avoir eu comme père. Je sais qu'il m'accompagnera tous les jours de ma vie jusqu'à ce que nous nous retrouvions dans la maison du seigneur."

 

  • Triste 1

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GuillaumeL458

Rénovation d'une légende de la Formule 1 et de Ferrari, la première de la marque à avoir remporter un GP en 1951 et qui fête ses 70 ans :

 

 

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Lord Brett

Triste nouvelle.

 

Jean-Pierre Jaussaud est décédé hier à l'âge de 84 ans.

 

M^me si il n'a été qu'essayeur en F1, c'était un grand pilote, qui a remporté 2 fois les 24 heures du Mans et une personne très sympathique et disponible.

 

C'était toujours un plaisir de discuter avec lui à diverses occasions comme à chaque édition du Mans Classic.

 

Un grand Monsieur.

 

RIP Jean-Pierre

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tonton enzo
il y a 56 minutes, Lord Brett a dit :

Triste nouvelle.

 

Jean-Pierre Jaussaud est décédé hier à l'âge de 84 ans.

 

M^me si il n'a été qu'essayeur en F1, c'était un grand pilote, qui a remporté 2 fois les 24 heures du Mans et une personne très sympathique et disponible.

 

C'était toujours un plaisir de discuter avec lui à diverses occasions comme à chaque édition du Mans Classic.

 

Un grand Monsieur.

 

RIP Jean-Pierre

J'ai vu Jean-Pierre Jaussaud pour la première fois fin des annees 60 à Montlhéry il devait courir en formule 3....encore un qui s' en va...RIP

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Lord Brett

Un magnifique hommage lors des obsèques de Jean-Pierre Jaussaud hier à Caen

 

hommage-jean-pierre-jaussaud-1.jpg

crédit photo ©François Monier / Septième Ciel Images

 

hommage-jean-pierre-jaussaud-2.jpg

 

crédit photo ©François Monier / Septième Ciel Images

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RedDreams

Je ne me rappelais plus, de cette histoire dont il me semble avoir entendu parler, c'est assez incroyable et impossible à réaliser aujourd'hui, bien que l'intox passe quand même dans certains messages radio de Lewis qui a de qui tenir !... 

https://fr.motorsport.com/f1/news/grand-prix-allemagne-1957-derniere-victoire-fangio/6642112/

Citation

Lors du Grand Prix d'Allemagne 1957 disputé sur le Nürburgring, Juan Manuel Fangio (Maserati) a signé probablement sa victoire la plus exceptionnelle, qui fut aussi sa dernière en F1, en jouant un bon tour aux Ferrari de Mike Hawthorn et Peter Collins.

C'était un 4 août - Le dernier chef d'œuvre du maestro Fangio

Après avoir remporté un quatrième titre mondial en 1956 à l'issue d'une saison aussi pleine de succès que conflictuelle avec Enzo Ferrari au sein de la Scuderia, Juan Manuel Fangio avait choisi de passer dans le giron de Maserati pour la saison 1957, qui allait être la dernière à temps plein du déjà légendaire pilote argentin.

Chez Maserati, Fangio remplaçait son ancien équipier Stirling Moss, qui décidait lui de rejoindre les débuts de Vanwall. Quant à Ferrari, la Scuderia se reposait sur ses jeunes talents, Peter Collins, Eugenio Castellotti, Luigi Musso et Mike Hawthorn, de retour à Maranello.

Fangio avait idéalement débuté sa collaboration avec Maserati en s'imposant chez lui à Buenos Aires lors de l'ouverture de la saison, en janvier, puis lors de la seconde manche de la saison… quatre mois plus tard, dans les rues de Monaco, puis encore lors du Grand Prix de France à Rouen-les-Essarts, à l'issue d'une prestation restée dans les mémoires.

f1-albi-grand-prix-1953-juan-manuel-fang

L'équipe Ferrari connaissait une saison difficile. La Scuderia avait perdu Eugenio Castellotti lors d'un accident en essais à Modène, en mars, et ses 801, les voitures les plus lourdes du plateau, peinaient à faire jeu égal avec les Maserati 250F et les Vanwall VW de l'autre équipe en forme de ce début de saison. Celle-ci s'imposait pour la première fois lors du Grand Prix de Grande-Bretagne, à Aintree, avec Stirling Moss et Tony Brooks, qui s'étaient relayés au volant de la voiture comme c'était encore l'usage.

Après Aintree, et avant l'antépénultième manche de la saison sur le redoutable circuit du Nürburgring, début août, Fangio menait donc au score devant Luigi Musso et Tony Brooks, alors que ses abandons à répétition empêchaient le véloce Stirling Moss de jouer le titre mondial.

Fangio pouvait ainsi voir venir, et avait la possibilité de coiffer d'ores et déjà la couronne mondiale – sa cinquième – en cas de succès sur le Nürburgring, et ce avant même les deux dernières épreuves en terre italienne (Pescara deux semaines plus tard, puis Monza début septembre).

Ferrari en quête de victoire

Début août dans l'Eifel, Maserati arrivait ainsi avec trois 250F officielles pour Fangio, Jean Behra et Harry Schell, alors que Stirling Moss endossait encore son rôle de leader chez Vanwall aux côtés de Tony Brooks et Stuart Lewis-Evans. Du côté de Ferrari, Hawthorn, Collins et Musso entendaient bien décrocher la première victoire des rouges depuis le début de la saison.

À l'issue des qualifications, Fangio signait la pole position mais les Ferrari se positionnaient comme les rivales les plus sérieuses des Maserati, Hawthorn réalisant le deuxième meilleur chrono et s'intercalant entre les 250F de Fangio et Behra, alors que Collins était lui aussi bien placé, en quatrième position. Quant aux Vanwall, elles devaient se contenter des cinquième (Brooks) et septième rangs (Moss), les deux Britanniques encadrant la troisième Maserati officielle, celle de Schell, sur la grille, où pas moins de 30 concurrents allaient prendre position le jour de la course. 

f1-german-gp-1957-mike-hawthorn-lancia-f

On part à quatre par ligne sur la grille du Nürburgring et, au départ, Fangio joue la prudence et laisse filer les deux Ferrari de Hawthorn et Collins, qui emmènent le peloton. L'Argentin devance son équipier Behra.

Hawthorn et Collins tout feu tout flamme

Les pilotes Ferrari imposent un rythme extrêmement soutenu sur le toboggan de l'Eifel, Hawthorn battant déjà le record du circuit dès le deuxième tour. Mais Fangio, qui suit de près, réplique en faisant à son tour mieux que la référence établie par le leader quelques minutes plus tôt.

Fangio est en fait passé à l'attaque après avoir pris ses marques lors du premier tour et, après avoir disposé de la Ferrari de Collins, il installe la Maserati en tête en dépassant Hawthorn quelques instants plus tard. Il creuse méthodiquement l'écart sur ses poursuivants, à coup de records du tour et au prix d'un pilotage étourdissant, pour porter son avance à une trentaine de secondes au huitième tour.

L'équipe Maserati appelle Fangio au stand au douzième tour, mais l'arrêt ravitaillement de son pilote, et son changement de pneus, tournent à la catastrophe : près d'une minute sera perdue dans l'opération, permettant aux deux Ferrari, qui ont bénéficié d'arrêts plus prompts, de reprendre le commandement, Collins devant Hawthorn – alors que Fangio reprend la piste à plus de quarante secondes de ses adversaires. 

f1-german-gp-1957-peter-collins-lancia-f

Le coup de poker de Maserati et Fangio

Alors que la course semble d'ores et déjà perdue pour Maserati, l'équipe italienne joue un véritable coup de poker. L'idée est en effet de voir Fangio boucler ses premiers tours de relance à allure moyenne afin de faire croire au clan Ferrari qu'il a course gagnée, avant d'attaquer dans les derniers tours. Au 14e passage, le retard de Fangio est encore monté à plus de 45 secondes, et le quadruple Champion du monde s'efforce même de donner des coups d'accélérateur dans la ligne droite des stands, feignant un problème technique.

Ainsi, lorsque l'équipe Ferrari panneaute à ses pilotes leur avance de 48 secondes à leur passage à l'issue du 15e tour, on leur intime également l'ordre de lever le pied pour assurer le doublé. Hawthorn et Collins se permettent même de se porter côte à côte afin de confirmer ces consignes, Collins signifiant par geste à son équipier et ami qu'il lui laisse la voie libre pour la victoire. Il reste six tours à boucler.

Seizième tour : les Ferrari comptent encore 45 secondes d'avance et Fangio est prêt à lâcher les chevaux. Très intelligemment, l'Argentin demeure sur la réserve en passant la ligne droite des stands, la courbe sud et la ligne droite passant derrière les stands, avant de plonger dans la descente d'Hatzenbach... et d'entamer son récital.

f1-german-gp-1957-juan-manuel-fangio-mas

Lorsque les membres de l'équipe Ferrari chronomètrent l'écart entre leurs voitures et la Maserati, ils sont évidemment extrêmement surpris de voir le retard de Fangio tomber à 33 secondes en un seul tour. Problème : la radio n'existe évidemment pas encore, et il n'y a pas de panneautage intermédiaire sur la Nordschleife. Collins et Hawthorn poursuivront encore leur train de sénateurs pendant une bonne dizaine de minutes avant d'être informés du retour de leur rival.

Au tour suivant, il ne reste plus que 25 secondes à combler pour Juan Manuel Fangio, qui poursuit sa démonstration de pilotage, souvent à la limite. Bien que Collins et Hawthorn soient repassés à l'attaque, l'écart chute à chaque passage sur la ligne : 20 secondes, 15 secondes… À deux tours de l'arrivée, la Maserati est cette fois dans le sillage immédiat de la Ferrari de Collins, et la dépasse au prix d'une belle passe d'armes et d'une légère incursion sur le bas-côté.

Dernière victoire en Championnat du monde, et dernier titre

Fangio revient ensuite au contact avec la Ferrari du leader Hawthorn dans le dernier tour, et porte une attaque imparable pour s'emparer du commandement. Il s'impose finalement avec trois secondes d'avance sur le Britannique, alors que Peter Collins complète le podium à 35 secondes du vainqueur, à l'issue d'un Grand Prix demeuré dans les annales.

Juan Manuel Fangio signait ainsi son 24e et dernier succès en Championnat du monde devant ses deux anciens équipiers, encore admiratifs après la leçon qui venait de leur être donnée, et s'adjugeait du même coup son cinquième et dernier titre mondial. Ferrari ratait l'occasion de s'imposer en cette saison 1957. Une occasion qui n'allait plus se présenter puisque Vanwall s'adjugerait les deux derniers Grand Prix avec Stirling Moss.

Épilogue

Mais la Scuderia allait prendre sa revanche l'année suivante avec le titre de Mike Hawthorn, une saison 1958 toutefois endeuillée pour Ferrari avec la mort de Luigi Musso au Grand Prix de France à Reims puis celle de Peter Collins sur le Nürburgring. Quant à Fangio, il tirait sa révérence après deux ultimes apparitions en Grand Prix en 1958. Et Mike Hawthorn trouvait lui la mort dans un accident de la route, en janvier 1959.

 

Citation

 

 

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dragon1964

Un talent de pilotage qui confine au sublime combiné a une intelligence tactique qui ne l'est pas moins!

 

L'empreinte des plus grands, ils sont (très) rares dans l'histoire...

Merci @RedDreams pour ce moment d'histoire de la F1 que je ne connaissait pas.

Modifié par dragon1964

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Todeschini

Merci, superbe rappel historique!

Ces faits d'armes sont comptés dans le livre " mes joies terribles " d' Enzo Ferrari chez Robert Laffont...

Super bouquin pour tout passionnés de la marque.😉

Modifié par Todeschini
orthographe

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Lord Brett
Il y a 9 heures, RedDreams a dit :

Je ne me rappelais plus, de cette histoire dont il me semble avoir entendu parler, c'est assez incroyable et impossible à réaliser aujourd'hui, bien que l'intox passe quand même dans certains messages radio de Lewis qui a de qui tenir !... 

https://fr.motorsport.com/f1/news/grand-prix-allemagne-1957-derniere-victoire-fangio/6642112/

 

 

Une belle histoire, bien résumée ici

 

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geo27

Il n'était pas une légende de la f1 (4 GP disputé dont 1 sur Ferrari 158 en 65), mais son parcours en sport proto et sa victoire à LM en 64 avec la 275P est dans la légende.

 

Nino Vaccarella, 24 Hours Of Le Mans : Photo d'actualité

 

https://www.autohebdo.fr/actualites/classic/nino-vaccarella-est-decede.html

 

RIP

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Lord Brett

C'était aussi un spécialiste en terre natale, la Targa Florio qu'il avait remportée à 3 reprises...

 

RIP Nino

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Lord Brett

Une légende de la Formule est partie cet après-midi, Sir Frank Williams (1942-2021).

 

Fondateur d'une écurie longtemps incontournable de la F1 avec 7 titres pilotes et 9 titres constructeur.

1980 : Pilote Alan Jones (AUS)  + constructeur

1981 : titre constructeur

1982 : pilote Keke Rosberg (SF)

1986 : titre constructeur

1987 : pilote Nelson Piquet (BR) + constructeur

1992 : pilote Nigel Mansell (GB) + constructeur

1993 : pilote Alain Prost (F) + constructeur

1994 : titre constructeur

1996 : pilote Damon Hill (GB) + constructeur

1997 : Jacques Villeneuve (CDN) + constructeur

AM-JKLWZ4i6TNt0gvJ_FIID0pCwuPwi3Iss__vTz

 

L'année des 1ers titres au Castellet

 

RIP Sir Frank

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speedy
il y a 27 minutes, Lord Brett a dit :

Une légende de la Formule est partie cet après-midi, Sir Frank Williams (1942-2021).

 

Fondateur d'une écurie longtemps incontournable de la F1 avec 7 titres pilotes et 9 titres constructeur.

1980 : Pilote Alan Jones (AUS)  + constructeur

1981 : titre constructeur

1982 : pilote Keke Rosberg (SF)

1986 : titre constructeur

1987 : pilote Nelson Piquet (BR) + constructeur

1992 : pilote Nigel Mansell (GB) + constructeur

1993 : pilote Alain Prost (F) + constructeur

1994 : titre constructeur

1996 : pilote Damon Hill (GB) + constructeur

1997 : Jacques Villeneuve (CDN) + constructeur

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L'année des 1ers titres au Castellet

 

RIP Sir Frank

R.I.P Frank Williams. Un grand Monsieur. Sans lui, c'est plus pareil.

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jpCarrera
il y a une heure, Lord Brett a dit :

Une légende de la Formule est partie cet après-midi, Sir Frank Williams (1942-2021).

 

Fondateur d'une écurie longtemps incontournable de la F1 avec 7 titres pilotes et 9 titres constructeur.

1980 : Pilote Alan Jones (AUS)  + constructeur

1981 : titre constructeur

1982 : pilote Keke Rosberg (SF)

1986 : titre constructeur

1987 : pilote Nelson Piquet (BR) + constructeur

1992 : pilote Nigel Mansell (GB) + constructeur

1993 : pilote Alain Prost (F) + constructeur

1994 : titre constructeur

1996 : pilote Damon Hill (GB) + constructeur

1997 : Jacques Villeneuve (CDN) + constructeur

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L'année des 1ers titres au Castellet

 

RIP Sir Frank

Merci pour l'info, un très très grand Monsieur de la F1 et passionné de surcroit ... qui a eu un banal et grave accident avec une voiture de l'occasion sur la route du Beausset

après avoir assisté aux essais de la Williams FW11 en 1986 . Cet accident va le laisser tétraplégique...Sir Williams respect Monsieur, pour votre combativité...

 

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Mike051

Une grande perte d’un pan entier de l’histoire de la F1. Un passionné doublé d’un jusque-boutisme sans égal.

RIP Sir

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vincenzo13

Une figure emblématique de la F1 qui disparaît. RIP Sir  Franck.

 

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