0
Jean66

Hyper Lubrifiant Et Ferrari

Messages recommandés

Ruvo

Origine wiki, un topo sur les additifs. Chacun pourra s'en faire une idée.

 

 

 

Additifs et huiles « compoundées » (mélangées)
Généralités

Pendant de nombreuses années, les besoins de graissage ont été
satisfaits par les huiles minérales pures, surtout après la véritable
« révolution » que constituèrent les techniques de raffinage par
solvants. On mélangeait alors des bases fluides et visqueuses en
proportions variables pour obtenir des gammes de lubrifiants.


Le manque d'onctuosité des hydrocarbures fut bien vite corrigé par
addition d'huiles d'origine végétale ou animale. Ces dernières
contiennent en effet des acides gras (acides oléique, stéarique,
margarique, palmitique, etc.) dont les molécules polaires sont capables
de se fixer très fortement sur les surfaces métalliques par adsorption
chimique, grâce à leur groupe carboxyle -COOH. Les surfaces sont ainsi
recouvertes d'une sorte de « velours ». Dans certains cas il y a même
attaque avec formation de savons insolubles accrochés solidement à la
surface.


Ce mélange ne visait qu'à améliorer une propriété particulière,
l'onctuosité, par des produits que l'on peut considérer comme les
premiers additifs. Aujourd'hui, l'industrie chimique produit toute une
série de composés complexes dont l'apparition dans les huiles a
constitué une seconde révolution. Si dans les premiers temps la
proportion d'additifs ne dépassait pas 3 à 5 %, il est aujourd'hui
courant d'en trouver de 25 à 30 % ...


La plupart des mécanismes modernes ne peuvent fonctionner que grâce à
des lubrifiants hautement spécialisés, sans lesquels les progrès que
nous connaissons n'auraient pas été possibles. Le terme « dopes »
désigne des produits qui forment in situ avec les métaux des
composés ioniques que le frottement consomme par action mécanique. Si
tous les dopes sont des additifs, en revanche tous les additifs ne sont
pas des dopes. Le terme « dopage » a d'ailleurs pris un sens péjoratif
et n'est plus adéquat : les lubrifiants dopés ne sont pas améliorés
temporairement comme certaines performances sportives, mais pour toute
leur durée de vie, c'est-à-dire le temps qui s'écoule entre deux
vidanges.


On distingue les additifs lyophiliques et les additifs lyophobiques.
Les premiers ont une affinité avec le solvant, qui est la base
lubrifiante. Ils sont constitués de particules colloïdales de dimensions
inférieures au micromètre : additifs de viscosité, polyméthacrylates,
acides gras, savons, additifs antiusure. Les seconds n'ont pas
d'affinité avec le solvant dans lequel ils restent en suspension :
graphite, bisulfure de molybdène (MoS2), PTFE micronisé, bentonite, etc.


Diverses sortes d'additifs
  • additifs détergents (utilisés à raison de 3 à 15 %) : les
    premières huiles détergentes furent introduites en Europe par les armées
    alliées en 1944. L'un des premiers produits utilisés a été le
    naphténate d'aluminium, qui fut suivi par beaucoup d'autres. Les
    additifs détergents ont pour principal effet de maintenir en suspension
    dans l'huile les boues et particules charbonneuses afin d'éviter
    qu'elles se déposent et « gomment » les pièces, surtout à haute
    température (par exemple, les gorges de segments dans les moteurs
    thermiques). Un des additifs détergents les plus couramment utilisés est
    le sulfonate de calcium ;

  • additifs dispersants (de 3 à 15 %) : contrairement aux
    précédents, ils agissent essentiellement à basse température en
    retardant la formation de dépôts ou de boues (sludge en anglais).
    Ce sont surtout des sels organiques, phénates, salycilates ou
    sulfonates de métaux alcalinoterreux : calcium, baryum, magnésium ;

  • additifs abaissant le point de congélation (jusqu'à 0,5 %) :
    on les appelait autrefois inhibiteurs de figeage. Les méthylacrylates et
    les acrylates améliorent le comportement à froid des huiles
    paraffiniques. Grâce à leur structure fibreuse, ils forment sur les
    microcristaux de paraffines un film très mince qui évite leur
    grossissement et leur agglomération. Il existe une concentration
    optimale de l'ordre de 0,25 % au-delà de laquelle le point de
    congélation ne s'abaisse plus ;

  • additifs de viscosité (de 5 à 10 %) : la viscosité des huiles
    diminue beaucoup lorsque la température augmente et l'on a cherché à
    corriger ce défaut. Si l'huile ne doit pas être trop visqueuse à froid
    pour faciliter le démarrage, elle ne doit pas non plus être trop fluide à
    chaud pour conserver une solidité suffisante aux films lubrifiants. On
    utilise un faible pourcentage de polymères de masse molaire relativement
    élevée (10 à 20 000), de la famille des polybutènes, polyméthacrylates,
    polyacrylates et polymères d'oléfines, qui tendent à limiter la liberté
    de mouvement des molécules de la base, et ce d'autant plus que la
    température est plus élevée ;

  • additifs d'onctuosité, de frottement, d'adhésivité
    (proportions très variables) : ils augmentent l'adhérence du film
    d'huile pour en prévenir la rupture et sont donc très intéressants pour
    le glissement à faible vitesse sous forte charge. Ils diminuent la
    tendance au stick-slip dans les glissières. Beaucoup d'huiles ou
    de graisses contiennent des savons, tels le naphténate de plomb qui
    convient bien aux couples roues et vis sans fin. Dans l'ordre
    d'efficacité croissante, on trouve diverses familles de composés
    polaires : esters gras naturels ou synthétiques, amines grasses,
    glyacides, alcools gras, acides gras de C12 à C18 ;

  • additifs antiusure (1 %) : utiles surtout aux basses
    températures, ils s'accrochent aux surfaces par des liaisons chimiques
    et forment des film épais et plastiques qui répartissent les contraintes
    et réduisent l'usure. Leurs propriétés dépendent du substrat et des
    autres additifs qui inhibent parfois leur action, en particulier les
    détergents qui entrent en compétition avec eux pour se fixer sur les
    surfaces. Des additifs classiques sont le dithiophosphate de zinc, le
    tributylphosphate et le tricrésylphosphate, le dithiocarbonate de zinc,
    qui conviennent bien aux engrenages cylindriques et coniques moyennement
    chargés. On utilise aussi des composés organométalliques du plomb.
    L'usure du lubrifiant correspond à la disparition progressive de
    l'additif transformé en divers produits de dégradation. Lorsqu'il a
    entièrement disparu, le coefficient de frottement et l'usure augmentent
    brutalement ;

  • additifs extrême pression (de 1 à 10 %) : comme les
    précédents, ils forment des films protecteurs contre le grippage par
    interaction avec le métal de base mais leur activité se manifeste
    surtout aux températures de surface élevées. Citons le bisulfure de
    dibenzyle, les terpènes soufrés et divers corps gras sulfurés. Les
    paraffines chlorées, plus ou moins abandonnées pour les huiles de
    graissage sont encore utilisées dans les huiles de coupe. Ces additifs
    sont devenus indispensables pour les engrenages lourdement chargés et
    surtout pour les ponts hypoïdes où un glissement important se conjugue à
    des charges très fortes. Ils manifestent presque tous une activité
    chimique importante et modifient les surfaces sur lesquelles ils
    constituent des sels lubrifiants, sulfures, phosphures ou chlorures. Ils
    sont en général corrosifs pour les métaux non ferreux et sont donc à
    utiliser avec prudence ;

  • additifs antioxydation (1 % environ) : les huiles s'oxydent
    en formant divers produits, résines, polymères divers ... qui se
    déposent sous forme des boues ou des vernis acides. Les additifs
    antioxydants, phénols, amines, composés sulfurés ou phosphosulfurés,
    ajoutés en faible quantité, limitent cet effet tout en protégeant les
    pièces contre la corrosion ;

  • additifs antimousse (10 ppm) : ils empêchent la formation de
    mousses stables en brisant les bulles qui surviennent par exemple lors
    du retour à la pression atmosphérique du fluide d'une installation de
    transmission de puissance hydraulique ;

  • additifs anticorrosion et antirouille (1 %) : ils constituent
    des couches adsorbées étanches aux produits corrosifs, ce sont surtout
    des savons d'amines, des sulfonates, naphténates, etc. Attention aux
    incompatibilités entre les additifs antiusure, extrême pression et
    antirouille, qui entrent tous en compétition pour l'adsorption sur les
    métaux ;

  • passivants : ils stoppent l'effet catalytique des métaux sur l'oxydation et la corrosion ;

  • additifs émulsifiants (proportions variables) : ils rendent
    l'huile minérale miscible à l'eau et sont utiles non seulement pour les
    fluides de coupe, mais également en mécanique générale s'il y a un
    risque de condensation ;

  • antiseptiques : ils sont surtout employés pour les huiles de
    coupe et autres émulsions qui ont une fâcheuse tendance à fermenter et à
    devenir nauséabondes, voire dangereuses en cas de blessures souillées ;

  • nanoparticules : elles sont étudiées dans le chapitre concernant les lubrifiants en général ;

  • lubrifiants solides : certaines huiles lubrifiantes contiennent des lubrifiants solides en suspension : graphite, MoS2, PTFE micronisé, bentonite.

Consommation sélective des additifs et entretien des lubrifiants

Au fil des heures de service, les lubrifiants voient leurs propriétés
s'altérer progressivement, entre autres parce que certains additifs
sont consommés et parce que le taux d'impuretés augmente.


Les additifs antiusure et extrême pression ont la propriété de se
fixer chimiquement sur les surfaces et ils sont éliminés au fur et à
mesure que ces dernières s'usent. Tant qu'il reste une concentration
suffisante de ces produits, la surface mise à nu par l'élimination d'une
particule d'usure est très vite recouverte d'une nouvelle pellicule
protectrice. En revanche, lorsque les réserves sont épuisées, les
surfaces mises à nu ne sont plus protégées et les risques d'avarie sont
élevés.


L'efficacité des détergents et des dispersants diminue
considérablement au fil du temps, de même que celle des produits
destinés à neutraliser les acides au fur et à mesure de leur formation
par oxydation des huiles de base.


Il est donc important de surveiller régulièrement la concentration de
ces additifs. En cas de baisse trop importante de leur concentration,
il faut vidanger le lubrifiant usé et refaire le plein en produit neuf ;
dans certains cas, il est également possible d'utiliser des produits de
complément qui permettent de faire remonter les concentrations, si
l'huile de base est encore d'une qualité suffisante.


Additifs et filtration

La présence d'additifs, en particulier de lubrifiants solides restant
en suspension, fait interroger certains utilisateurs qui se demandent
ce qui se passe lorsque le lubrifiant est filtré. On peut trouver ici
quelques idées sur cette question :


  • les additifs dissous traversent sans problème tous les filtres ;
  • les huiles pour moteurs ne posent généralement pas de problème car
    les particules de graphite ou de bisulfure de molybdène que l'on peut y
    trouver sont beaucoup plus petites que les ouvertures des filtres
    usuels ; en revanche elles pourraient être arrêtées par des filtres aux
    passages trop étroits ;
  • les additifs constitués de molécules polaires (antiusure, extrême
    pression, antirouilles) se fixent sur les surfaces des pièces et des
    débris d'usure ; ils sont donc partiellement éliminés, en même temps que
    ces débris, lors de la filtration ;
  • les additifs susceptibles de se coaguler pour donner des particules
    relativement grosses, en particulier lors d'abaissements de la
    température, sont aussi retenus par les filtres ; si cette agglomération
    cesse en même temps que la température remonte, alors ils sont remis en
    solution et peuvent donc à nouveau traverser le filtre ;
  • des particules solides assez grosses pour être arrêtées par les
    filtres peuvent se former aux dépens des additifs lors du mélange de
    lubrifiants incompatibles.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Jean66

Je viens de lire sur leur site que l hyper lubrifiant boîte est compatible autoblocant ..

Je vais peut être devenir mecatech ou lieu de mecacyl. ..:)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Je viens de lire sur leur site que l hyper lubrifiant boîte est compatible autoblocant ..

Je vais peut être devenir mecatech ou lieu de mecacyl. ..:)

Jean on ne le dira jamais assez, c'est top le GDA, pour preserver son moulin ;)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
henri66

+ 26 cv juste avec un additif ?

va falloir que la scuderia en mette un peu dans ses moteurs de F1

  

Flat 6 Aout 2007, je ne poste pas l'article mais renseigne toi, sous controle d'huissier, et avec des bougies c2bs modifiées encore plus de chevaux.

  

L'huissier il est aussi ingénieur motoriste ?

@+

On a recu a la grande époque TOUS les mecs qui envoyaient un courrier à Jean Todt avec le dernier produit miracle.

On les a TOUS testés. Gilles S avait meme sorti une espèce de procédure pour faire un back to back avec et sans.

Et comment dire......

Oui comment vous le dire......

AUCUn ne mais alors AUCUN n'a passé le test et n'est donc jamais alle en piste. Jamais.

Apres, que ca fasse pas de mal, surement. Mais sur un moteur de course, nada.

Apres sur un moteur de route, peut être meme deja endommagé, je n'en sais rien.

Et la je suis intéressé par des articles expliquant les bienfaits de ses produits additifs huile ou additifs essence.


Une voiture, c'est pour aller de A à B. Une Ferrari, c'est pour aller d'un point A à un point A. Nuance...

 

Notre 456 MGT - Changement de guides de soupape - Mes années F1

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Entre le ressenti au volant qui est bien net, un reportage complet dans flat 6 qui est une revue tres serieuse et respectable, plus la presence d'un huissier lors de ce reportage... Je ne vois pas comment contredire l'evidence. Et je n'ai rien à y gagner puisque le t2s d'ecotech est un super produit egalement, on sent vraiment la difference dans les tours.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Jean66

Henri ta réponse est plus que claire et par du lourd. ..

Ceci dit sur mes Porsche je confirme les différences avec le mecacyl. ..

Ceci dit la Ferrari. ...sa tente bien d essayer le Gda ..j ai des amis sur bm qui en sont ravis. ..

Ont peu effectivement ce dire que ca ne peut que faire du bien ...

J ai pas vus non plus des tonnes de moteurs cassé en retour sur le net. .

Bonne route

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Mattzilla

Mécacyl est utilisé en grand prix moto par quelques teams, 125 (sûr) et 250(à vérifier)...

 

Merci RUVO pour ce copier coller très instructif !

 

Cependant ils ont oublié de parler de cet additif miraculeux qui solutionne tous les problèmes!

J'ai bien dis TOUS LES PROBLEMES, boite, moteur, encrassage, chassis etc...

Cet additif ce mélange à l'eau et se dose à l'oeuil...

Deux doses et ça va beaucoup mieux, trois doses et les problèmes de bruits/ cliquetis disparaissent...

Six doses et là, plus de problèmes ...

Il est très bon marché!

Un ricard et ... ça repart!

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ruvo

En reprenant le doc que j'ai posté plus haut, on constate que tous les types d'additifs sont bien connus des huiliers, le métal en suspension est utilisé depuis longtemps, pour les anciens, on se souviendra qu' il y a une cinquantaine d'années existait déjà ANTAR et son huile au molybdène.

 

Metal5 fut un additif de ce genre, cartonna dans les 80', avait des autos de course en sponsoring qui n'en mettaient pas forcément ! Le marketing est toujours important pour ces produits.

 

Je ne suis pas spécialiste en huile et je n'ai aucune connaissance sur le sujet, j'éviterai donc d'exprimer des avis tranchés sur le sujet. En revanche je ne peux pas croire que des fabricants d'huile "premium" ne sachent pas ou ne veuillent pas mettre sur le marché des produits qu'ils pensent réaliser de la meilleure manière. Les additifs, quel qu’ils soient, font partie de leurs  connaissances de base, et la formulation de leur huile doit comporter ce qu'ils pensent être la bonne recette. On a vu plus haut que l'excès de certains additifs peut se révéler inutile, voir néfaste.

 

Surtout comme le dit plus haut Henri, l'important pour les tests reste le protocole d'essais. Ces derniers réalisés par le fabricant ou par des labos indépendants, diffèrent très souvent de façon surprenante. Les résultats sont de ce fait totalement différents.  :D

 

Un exemple assez parlant de la valeur relative des résultats issus d'un protocole d'essai discutable :

 

"Pour ma part, il y a 50 ans j'ai mis au point un système assez complexe destiné à empêcher les Martiens d'atterrir dans mon jardin. Depuis cette date, je n'ai jamais vu de Martiens piétiner mes plates-bandes, donc mon invention est terriblement efficace pour chasser les Martiens"

CQFD

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
33manu

Entre le ressenti au volant qui est bien net, un reportage complet dans flat 6 qui est une revue tres serieuse et respectable, plus la presence d'un huissier lors de ce reportage... Je ne vois pas comment contredire l'evidence. Et je n'ai rien à y gagner puisque le t2s d'ecotech est un super produit egalement, on sent vraiment la difference dans les tours.

 

Oliv, y'a rien de plus subjectif que le ressenti, scientifiquement ça ne vaut rien, zéro, que dalle, peau de banane. C'est du même niveau que le marabout m'goudou rue du chien qui pisse ;) Ma 308 marche mieux certains jours que d'autres : les carbus sont sensibles (plus que l'injection) aux conditions météo (température, pression, humidité), imagines ce qu'on pourrait conclure trop rapidement si j'avais mis du perlinpin magique :)

 

Une revue ce sont des journalistes, pas des motoristes et une revue ça vit beaucoup de ses annonceurs...

 

Un huissier ne fait que constater ce qu'il voit : il l'atteste, il n'a aucune compétence mécanique et n'est pas là pour étudier en détail le système ni le remettre en cause, c'est facile de le berner techniquement :huh:

 

Attention, je ne dis pas que tous les additifs ne servent à rien, par exemple ceux qui augmente l'indice d'octane ont un effet, c'est certain, après c'est dans les limites de ce que peut faire l'injection, la limite de cliquetis etc... Si tu mets du booster d'octane et autre chose, tout changement est imputable au deux ? un seul des deux ? le protocole doit être rigoureux.

 

Un exemple assez parlant de la valeur relative des résultats issus d'un protocole d'essai discutable :

 

"Pour ma part, il y a 50 ans j'ai mis au point un système assez complexe destiné à empêcher les Martiens d'atterrir dans mon jardin. Depuis cette date, je n'ai jamais vu de Martiens piétiner mes plates-bandes, donc mon invention est terriblement efficace pour chasser les Martiens"

CQFD

 

Je connaissais deux versions :

 

- pour les psy : un mec plante des entonoirs dans son jardin, partout, son voisin lui demande pourquoi : c'est pour faire fuire les éléphants roses et ça marche : la preuve aucun n'est jamais venu piétiner ma pelouse :lol:

- pour les entomologistes: un type décide de prendre une puce et lui dit "saute", alors elle saute, elle saute. Il lui coupe une patte et lui dite "saute", alors elle saute, elle saute. Et ainsi de suite jusqu'au moment où elle n'a plus de patte, le type lui dit "saute" et là surprise : elle ne saute plus du tout, conclusion : les puces entendent par les pattes :lol:

 

Allé, je vais pisser dans mon réservoir après avoir bu un pastis pour gagner 50 ch :P

 

@+

Modifié par 33manu

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Je ne suis pas d'accord. Passage au banc, tu ne prends pas 15% de puissance comme ça. Certes cela reste effemere contrairement à une reprog mais ça fonctionne.

Moi ce sue je vois c'est que quand j'ai dit que j'avais une ligne complete on m'a dit les echappements aftermarket font perdre des chevaux (ok pour certain) ensuite quand j'ai dit que j'avais fait reprogrammer la 430 on m'a dit sur une atmo ça marche pas ( malgres le rapport de banc et surtout le ressenti comme mes montees en regime plus franche, a oui c'est subjectif), ensuite le GDA ou le T2s ça marche pas...

Par contre jeudi soir quand j'ai fait un depart lancé a 100 km/h avec une scuderia a coté 3eme rapport tous les 2 et bein comme d'hab je l'ai vue s'eloigner progressivement mais tres franchement.

C'est miraculeux :)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
33manu

Le produit miracle ne te fera rien gagner ou pas grand chose et je doute que le (faible) gain ne dure plus de quelques kms.

 

Les quelques points de perfos que tu as gagné c'est sûrement plus l'échappement qui a été libéré (injection adaptée) qu'une reprog seule (sans aucune autre modif) pour laquelle le gain restera faible sur une atmo comme on en avait déjà discuté.

 

Après, je t'offrirai un beau tee-shirt au Vigeant :

 

t-shirt-baseball-homme-ml-i-want-to-beli

 

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

 

@+

Modifié par 33manu

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv
33manu

Pour Oliv' :

 

Moteur Mitsu sans huile, carter d'huile démonté, mi-régime et sans charge, ça tient environ 7 minutes et ça redémarre une fois refroidi avant de serrer !

 

Tout ça grace à l'huile qui reste deci delà dans le moteur.

 

Donc le test au ralenti avec la pisse de chacal vendue au prix de l'or, comment dire :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes: :rolleyes:

 

Des vidéos comme celle-là tu en trouvera plein sur youtube !

 

 

@+

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv
33manu

Le test c'est environ 24h c'est pas 7 min :D

 

Ouais mais au ralenti sur un moteur de cox, méga nuance.

Essayons à 3000 trs/min sur le même moteur que la vidéo :P 

 

@+

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ffredd

@33manu : Laisse tomber Manu ! "Y'en a qu'on essayé"... :)

Tu as en face de toi ce qui se fait de plus performant dans le syndrome kité MLK " I've a dream : the last word is mine !  :P  :)  

@Oliv : T'es un cas tu sais ! En plus tu développes un argumentaire qui semble tenir la route sauf que le postulat de départ qui sert à étayer ta démonstration, est tout simplement pas le bon ! Impressionnant...

T'es vraiment un Chacal, the ONE !  :rolleyes:  ;)  

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Vous vous liguez toujours contre moi, mais le probleme c'est que j'ai toujours raison, donc ça ne sert à rien :)

:D :d

:P :p

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ffredd

Vous vous liguez toujours contre moi, mais le probleme c'est que j'ai toujours raison, donc ça ne sert à rien  :)

:D  :D

:P  :P

 

 

CQFD!  :lol:

 

Et non pas contre toi au contraire mon Poulet ! Si tu n'existais pas, le forum serait beaucoup moins intéressant !

Il faut juste savoir traduire, c'est tout  ;)

Modifié par Ffredd

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
tifosi101

Le produit miracle ne te fera rien gagner ou pas grand chose et je doute que le (faible) gain ne dure plus de quelques kms.

Les quelques points de perfos que tu as gagné c'est sûrement plus l'échappement qui a été libéré (injection adaptée) qu'une reprog seule (sans aucune autre modif) pour laquelle le gain restera faible sur une atmo comme on en avait déjà discuté.

Après, je t'offrirai un beau tee-shirt au Vigeant :

t-shirt-baseball-homme-ml-i-want-to-beli

:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

@+

Celui-là est pas mal non plus ! :D:P

post-1926-0-52687200-1427040457_thumb.pn


Nul homme ne possèdera complètement une Ferrari. Il en sera juste le gardien, pour les générations futures...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv
tifosi101

Ptdr !!! Je le prends en rouge :D

Dommage qu'il n'y ait pas la version à écran vidéo avec au choix le Castellet ou la sortie Saint Tropez ^^ :P


Nul homme ne possèdera complètement une Ferrari. Il en sera juste le gardien, pour les générations futures...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Oliv

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.

0