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  1. 6 points
    Bonjour à tous, Je m’appelle Louis, depuis tout petit je suis fou amoureux de bagnoles sans trop savoir d’où ça me vient. Cependant je n’ai jamais pu approcher ma passion, ne venant pas d’un milieu porté là-dessus. Après avoir achevé mes études qui n’ont rien à voir avec l’automobile, je me suis mis à bosser et la première chose que j’avais en tête fut de m’offrir « ma » première voiture. Et comme je n’avais jamais pu conduire de voiture de sport je voulais un cocktail le plus pur possible, histoire de rattraper le temps perdu. J’ai donc acheté une Lotus Exige s2 atmo et les mots me manquent pour décrire les émotions vécues avec elle. Cette auto m’a littéralement sauvé la vie. J’ai parcouru plus de 40k km avec en 4 ans et dès l’achat et les premier tours de roue, j’étais mordu et j’ai su qu’il m’en fallait plus. J’ai réalisé que j’étais passionné par qqch que je ne connaissais pas, que je ne maîtrisais pas. Pourquoi mon mon moteur me fascine tant, comment fonctionne t’il ? Pourquoi ce châssis est il si fabuleux, puis-je l’améliorer ? Pourquoi aimons-nous tant l’automobile ? Il fallait que j’en démonte, remonte, répare, modifie autant que possible pour comprendre et affûter mon appréciation. J’ai donc quitté immédiatement mon boulot pour me lancer en mécanique en partant du strict zéro, je n’avais jamais ne serait-ce que démonté une roue.. Je me suis donc inscrit en cours du soir. Dans ce milieu, et si on peut se le permettre cela va de soi, une voiture spéciale est la plus efficace des cartes de visite. On sait directement si on a affaire à un mordu qui en veut ou non. Je me suis donc présenté chez un spécialiste Lotus/Caterham pour qu’il accepte de me former en parallèle des cours. Il a accepté et j’ai pu apprendre le métier en profondeur, loin des codes et procédures « bêtes et méchantes » d’une concession généraliste. En parallèle à cela j’ai pu découvrir les joies du circuit, une révélation supplémentaire pour moi. Je claquais littéralement tout mon fric en sorties circuit, chez moi en Belgique mais aussi à l’étranger. J’ai compris également qu’une voiture sportive d’origine, et peu importe la marque ou le modèle, n’est (selon moi) pas une « bonne » voiture de sport dans le sens où elle a été développée et lissée pour être conduisible par le plus grand nombre. Je ne suis pas un puriste (en toute franchise ce terme est même assez péjoratif pour moi), j’aime par dessus tout améliorer mes autos, les rendre dignes de leur blason. J’ai donc passé 4 ans à préparer ma Lotus, à l’affiner tant côté châssis que moteur pour arriver à un résultat sur mesure pour mon style de conduite. Quel plaisir de pouvoir enfin vivre cela après tant de temps passé à rêver sans y croire vraiment. Les road trips circuits improvisés où on campe littéralement sur la piste, faire sa mécanique au soir en buvant une bière avec ses potes, se chambrer sur les chronos etc.. Mais le temps passe et je sens l’appel du changement, de l’étape suivante doucement venir à moi. J’en viens donc à la Ferrari.. Je ne suis pas du tout sectaire en automobile, je considère que chaque constructeur a réalisé des voitures d’intérêt durant son histoire. Je me fous complètement du prix d’une voiture, de sa soi-disant noblesse, son histoire ou que sais-je.. Ce qui compte pour moi c’est ce qui se passe quand on la contemple, qu’on monte dedans, qu’on la démarre et qu’on va rouler. Une automobile réussie est pour moi un éveil des sens. Hors vraie voiture de course, ma voiture préférée toute marque confondue est la Ferrari 360 Modena coupé boîte mécanique (Dieu merci je ne rêve pas d’une Pagani, sinon j’étais bon pour rêver encore longtemps 🥲). Pourquoi ? Pour son cocktail très homogène de monocoque aluminium, double triangulation avant arrière, ses lignes simples et élégantes taillées par le vent. Et SURTOUT pour son fabuleux moteur 40 soupapes en position centrale arrière, encore trouvable en boîte mécanique. On a une auto au potentiel incroyable, qui mis de côté l’enrobage de luxe et de gras qui n’ont rien à faire dans une sportive, me fait vraiment penser à la Lotus, mais au superlatif. J’en voulais une à tout prix mais comment faire ? Il fallait que j’apprenne à connaître ces autos à la source, j’ai donc postulé chez un spécialiste Ferrari bien connu en Belgique et après plusieurs journées de test j’ai eu la grande surprise et l’immense chance de me faire embaucher ! Cette sensation de rêve qui VA se réaliser est indescriptible! J’ai donc le bonheur d’être payé pour travailler sur des voitures qui me fascinent comme aucunes autres. J’ai la chance de pouvoir essayer des tonnes de modèles, certaines furent de belles surprises d’autres de grosses déceptions. Mais toute expérience/info est bonne à prendre. Un jour je tombe sur une Modena coupé bvm à vendre. Cependant la voiture, bien que présentant au global assez bien, nécessite une belle remise à jour esthétique (boîte à gant horrible, collecteurs après papillons mal repeints, vernis un peu rugueux par endroit et j’en passe. Rien de rédhibitoire en soi pour la vente. La voiture a des bornes (113k) mais dieu sait qu’une garage queen est souvent annonciatrice de gros frais à prévoir, donc pas gênant pour moi. Le vrai souci de cette auto est qu’elle est en mode dégradé, les papillons ne s’ouvrent qu’à 20% par défaut. J’ai donc fait mes recherches et pris le pari que les ECU en sont la cause et qu’ils sont réparables et même améliorables. Je vend la Lotus (la mort dans l’âme mais je n’ai pas le choix) et je négocie la Ferrari sans y croire vraiment, l’offre que je propose étant très inférieure au prix de vente. A mon grand étonnement le vendeur accepte ! Me voilà propriétaire de LA voiture de mes rêves !! Bon dans l’état ce n’est pas la plus désirable actuellement mais qu’importe, au prix où je l’ai eu je ne peux me plaindre de rien. Il s’agit donc d’une Ferrari 360 Modena coupé bvm de 99, une des premières. Couleur extérieure Argento Nurburgring et intérieur bleu intégral. Configuration élégante mais vraiment pas à mon goût, j’aurais vraiment aimé une noire intérieur noir dans l’idéal mais encore une fois je ne peux me plaindre de rien. L’acquisition est toute récente, je dois encore l’immatriculer et régler son problème de mode dégradé avant d’entamer la remise à niveau mais la joie et l’excitation (le stress aussi on va pas se mentir 👍) sont déjà bien là ! Merci beaucoup de m’avoir lu ! La présentation était peut-être un peu longue et indigeste mais ça fait du bien aussi de coucher des mots sur sa passion. Au plaisir d’échanger avec vous, Louis
  2. 6 points
    Aucun pronostic exact donc pas de très gros points en dehors de @Yan_328GTS_SG qui s’en est bien approché ! Sur le podium, pas mal de chamboulement avec l’arrivée de @Lodein et @Hub56 qui ravit la tête à notre ami @Mike051 RDV dans 15j à Imola pour un podium tout en rouge 🙂
  3. 4 points
  4. 4 points
    Tu l’arrêtes plus lui malheureusement 😓 Perso je m’en tape 😂. Que ce soit fiable ou pas. Faut juste ne pas mentir aux potentiels acheteurs un peu juste en budget qui pourraient se diriger plutôt vers une california et qui peuvent potentiellement se retrouver avec des sommes astronomiques à dépenser qui n’étaient pas prévues
  5. 4 points
    😂 Y’a pas à argumenter 😂 Suffit de consulter le forum 😂 #Déni 🙄😂
  6. 4 points
  7. 4 points
    Bonjour à toutes et à tous, Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas posté de sujet sur notre chère marque. Par manque d'inspiration ? Sans doute. Manque de temps ? Excuse bateau (quand on est passionné, on trouve toujours le temps). Manque d'enthousiasme ? Certainement au vu de la morosité ambiante et tout particulièrement de l'autophobie qui grignote chaque jour notre part de rêve, d'idéal à quatre roues, conçue et façonné par le génie d'artisans, de designers, d'ingénieurs mus par la passion de l'automobile. Je laisserai donc de côté les sujets à polémique comme l'avenir des motorisations, l'invasion de l'IA au ''service'' de la sécurité...etc. Je me contenterai juste en la matière de citer ce cher Alcofibras Nasier (c'est ainsi que l'intéressé se nommait selon cet anagramme) :''Science sans conscience n'est que ruine de l'âme''. Ou autrement dit, tout outil n'a d'intérêt que celles de nos intentions : un marteau peut servir à enfoncer à un clou mais aussi le crâne d'une personne sans défense (pardon pour l'analogie brute de fonderie). Pour rentrer dans le vif du sujet, je voudrai revenir sur l'historique pour le moins chaotique du châssis #2065 GT ou plutôt du coupé Pinin Farina #2065 GT (à quelques mois près, ce fut Pininfarina) puisqu'il s'agissait de la 1ère Ferrari de série (c'est à dire dont la carrosserie était directement assemblé sur le châssis sur ''ligne'' de production). En l'occurrence, c'était l'avant dernière voiture d'une série de 353 véhicules produite entre mars 1958 et septembre 1960 (soit une production record pour les deux partenaires de Mananello et Grugliasco). La voiture était donc équipée du moteur de type 128 F, issu de la 250 GT SWB Intérim, avec les bougies d'allumage déplacées de l'intérieur du V à l'extérieur; elle possède également 4 freins à disque ainsi qu'une boite quatre vitesses avec overdrive. On sait peu de choses de ces premières années. Si ce n'est que plus de sept années plus tard, elle fut l'objet d'une rocambolesque reconversion sous la férule d'un certain Gastone Crepaldi, prolifique marchand de Ferrari d'occasion qui, jusqu'à ce que le réseau Ferrari se professionnalise, n'était pas loin de vendre une Ferrari de ''seconde main'' sur deux en Italie. Dès lors, on comprend mieux la suite de l'histoire, même si l'on est plein en comedia dell'arte. Un mois plus tard le 250 GT PF #2065 GT, la 250 GT SWB #2209 GT carrosserie alu (la 42e sur 46) sort de Maranello dans sa livrée immaculée à bande tricolore. Destinée à la compétition, elle est livrée à Ardilio Tavoni à Modène qui la confie quatre jours après l'avoir réceptionné à l'un des plus brillants pilotes français de l'époque Jo Schlesser, l'archétype du pilote éclectique qui pouvait autant briller au volant d'une monoplace, d'un sport-proto, d'une GT que d'une voiture de rallye. Totalement imaginable aujourd'hui (en même temps, les agendas n'étaient pas les mêmes). A son volant, notre Jo national finit 3e au 1000 km de Paris puis remporte un mois plus tard le Tour de Corse en catégorie GT. En 1961, Ardilio Tavoni fait appel à un pilote transalpin en la personne d'Alessandro Zafferià Lonza puis à la Coppa St Ambroeus mais sans grand succès. L'année suivante, la voiture est achetée par Gianni Rhogi, un des fondateurs de la Gazetto de Sporto et pilote amateur accompli. A son volant, il obtiendra de belles place d'honneur avant de l'accidenter assez gravement, sans heurts pour lui-même (Il disparaîtra quelques années plus tard de lanière tragique en se faisant écraser la cage thoracique par un éléphant sauvage lors d'un safari). L'épave ''échoue'' alors chez Gastone Crepaldi, concessionnaire Ferrari pour la région Lombardie et accessoirement vendeur à cette époque de près de 50% des Ferrari de ''seconde main'' (nous étions encore loin du réseau actuel et de la surenchère en ''occasion''). En plein milieu des années 60, les rondeurs et galbes graciles des SWB n'avaient plus la faveur des ''jet setteurs'' et autres gentleman driver; c'étaient au contraire les lignes plus tendues et acérées qui inspiraient les objets à la mode. C'est alors que Crepaldi commandite auprès de l'officine Piero Drogo une carrosserie fastback avec un long capot rejoignant une cellule fastback non sans rappeler une certaine Ghibli contemporaine. Il en profite également pour changer le moteur. Celui d'origine était-il endommagé ou représentait-il un gain potentiel ? Toujours est-il est que Drogo l’a remplacé par le 3l V12 240 CV de la 250 GT/E #4921 GT qui avait été auparavant recarrossée en réplique de 250 Testa Rossa. Et 18 mois plus tard, le 29 mai 1969, l’auto recarrossée – et repeinte dans son rouge bordeaux foncé – a été achetée par une cliente française, Maryvonne Lassus, originaire de Savoie. La voiture a été immatriculée 174 KC 74. Mme Lassus l’a conservée 18 mois puis l’a revendue le 18 février 1971 à Eric Russli-Birchler de Paris. A l’occasion, la voiture a de nouveau changé d’immatriculation : 61 VP 75. Quelques années plus tard, elle a été revendue à un autre parisien, Bernard Cros-Lafage. Courant 1978, elle aurait été volée. Mais selon d’autres sources, elle aurait été revendue par un garagiste en compensation de frais de réparation et de stockage restés impayés. Le nouveau propriétaire, Mr Marty de Toulouse, la repeint en bleu métallique et installe des jantes Cromodora cing branches en lieu et place des Campagnolo mais ne la garde que peu de temps, la revendant début 1979 au concesssionnaire Anglais, Michael Lavers. Au même moment, la police française et le service anglais des douanes ont conclu à un nom lieu dans l’affaire du vol, et le concessionnaire a pu vendre le véhicule à un client anglais, Mister Passey, le véhicule recevant alors une immatriculation évocatrice : SWB 70. Conscient de détenir une pépite, Mr Passey a commissionné début 1980 la jeune société DK Engineering (créée en 1977 par David et Kate Cottingham, mettant à profit leur expertise des anciennes Jaguar au service de celles des Ferrari des années 50-60, marché devenu déjà lucratif). Après 3 ans de travail, la #2209 GT retrouve son lustre d’antan et multiplie sa valeur par 5 ! Finalement, et c’est là tout le sel de l’histoire, DK Engineering conserve la carrosserie de Drogo et la remonte sur un coupé 250 GT PF, le chassis #2065 GT qui lui-même avait été déjà reçu une carrosserie Drogo dans les années 60. Son destin était tout traçé ! Et c’est là que nous perdons la trace. Au final, de par le prestige de sa donatrice, la 42e SWB Competizione sur 46, presqu’aussi rare que son illustre descendante 250 GTO, cette voiture a capté toutes les attentions jusqu’à ce que carrosserie et chassis se séparent et que la forme des années 60-70 rejoigne un chassis plus modeste. Et finalement, il en va des voitures comme des hommes. L’histoire ne retient que le palmarès et les légendes. En l’occurrence dès que la carrosserie Drogo, certes pas des plus sublimes, ce qui ne l’a pas servie, a rejoint un chassis sans histoire, son histoire est tombée dans l’oubli. En tout cas, ce qui est intéressant est la part de mystère qui subsiste. Cette voiture doit donc toujours exister avec le chassis #2065 GT. Avec quel moteur ? A-t-elle récupéré celui de la 250 GT/E monté sur la #2209 GT alors que l’on sait que cette dernière a retrouvé le sien, monté entre temps sur la #2269 GT en lieu et place du V8 chevrolet monté dans les années 70, cette dernière ayant reçu en 2010 un V12 reconstruit par les ateliers Ferrari Classiche conforme au spécifications d’origine. Avec quelle teinte ? Le dernier bleu ou le rouge bordeaux très fonçé d’origine. Avec quelles jantes ? Les Cromodora 5 branches ou les Campagnolo d’origine. Avec quelle immatriculation ? Toujours le 61 VP 75 ou la dernière immatriculation avant recarrossage par DK E (185 XB 75) ou une autre encore. Autant de mystères auxquels seul le propriétaire actuel peut répondre, si tant est que cette voiture existe toujours. Mais il n’y a pas de raison. Une 250 GT, quelle que soit son origine et son histoire, n’est pas le genre de bien dont on se débarrasse ! Je me plais donc à imaginer qu’elle existe toujours à l’identique du modèle bientôt entre mes mains ! : )
  8. 3 points
    Et il y a cette option qui me rassure énormément
  9. 3 points
  10. 3 points
    Joli triplé Ferrari à l'issue des qualif des 6h de Spa en Hypercar! Bravo Quelques frayeurs en essais libres hier et ce matin, mais tout s'annonce bien sous le soleil belge 🙂 Et pas mal non plus pour Ferrari en LMGT3 ! Pour les Ferrarista, ce sera plus réjouissant de regarder les 6h de Spa plutôt qu'un grand prix F1 😛
  11. 3 points
    Salut à tous, Je me sépare (à regret) de ma 456 MGT de 1999. Elle totalise 133 000 km entièrement documentés, ce qui est une rareté sur ce modèle. Elle a été vendue neuve en France, j'en suis le troisième propriétaire depuis 2021, après un premier de 1999 à 2005, puis un second très soigneux jusqu’à mon achat. C’est une voiture qui a roulé, mais qui a surtout été entretenue avec rigueur, sans jamais faire l’impasse sur quoi que ce soit. Quelques infos clés : - Distribution faite en décembre 2024 - Pneus récents : 15 mois, 2000 km - Guides de soupapes refaits en 2005 (facture à l'appui) - Embrayage remplacé à 115 000 km (facture manquante, mais date et kilométrage confirmés par l’ancien proprio) - Climatisation pas "à recharger", elle est parfaitement fonctionnelle: Platine de ventilation et compresseur refaits en mai 2023 - Aucun problème électrique ou mécanique Carnet tamponné pour les premières années, puis près de 90 000 € de factures, uniquement en entretien préventif (aucune panne) Mon entretien perso depuis 2021 : 14 000 €, dont toutes les opérations importantes Vous trouverez en pièce jointe un fichier Excel détaillé reprenant l’historique complet des interventions, tout y est. Vous pourrez par exemple constater que les pneus ont tous tenus en moyenne 25 000 km, preuve d'une conduite cool. Elle a toujours été stockée en garage, comme chez ses deux précédents propriétaires, ce qui explique son super état général. - Intérieur en excellent état : Aucun cuir détendu, ciel de toit impeccable - Tous les plastiques ont été refaits par l’ancien propriétaire → aucune surface collante, ce qui est rare et très appréciable - Extérieur très bon : peinture d’origine avec quelques défauts mineurs normaux pour son âge, rien de rédhibitoire C’est une 456 qui roule, qui fonctionne parfaitement, et qui n’a rien à cacher. Pas une belle endormie avec 60 000 km et zéro historique… Prix : 69 000 € La M GT la moins chère du marché actuellement... et probablement l’une des plus saines. Un historique aussi complet est quasi introuvable aujourd’hui sur ce modèle. Elle est visible dans le Morbihan Au plaisir d'échanger entre passionnés. Pierre Et bien sûr les photos Entretien 456.xlsx
  12. 3 points
    Oliv vs Artifils le retour ça nous manquait 🤣🤣🤣🤣 J'ai mon paquet de pop-corn
  13. 3 points
    Modulo la présence féminine... Et il n'y pas assez d'enfants... ok, je sors 🤣
  14. 3 points
    😂😂, et encore retour de congés, donc les lignes n’étaient pas toujours droites 😅😅, heureusement il y a les courbes des italiennes pour arranger ça!! Imagine des Lambo à la place!! … il faudrait carrément appeler l’ambulance 😂😂
  15. 3 points
    Toujours le même problème lié au fameux kilométrage et à la spéculation qui s'en suit. Moins elle a de kilomètre, plus elle est chère, plus elle subit la décote, et moins on peut la sortir sans "culpabiliser"...ce qui es un comble pour ce genre d'engin. (sans compter l'état potentiel d'un moteur qui ne tourne jamais. Malheureusement les spéculateurs ont mis la main sur ce marcher qui n'a, à mon sens, ni queue ni tête, et qui laisse sur la touche de plus en plus de passionné au profit "d'investisseurs". Sur une voiture à ce prix, malheureusement 90%-95% des potentielles acheteurs sont là pour placer. Point barre. Le passionné moyen n'a plus les moyen de s'offrir son rêve, que ce soit sur du neuf ou sur de l'occasion. Quelle tristesse, je me met à la place des gosses de 15 ans. Combien de personne sur ce forum n'aurait plus les moyens de s'offrir la voiture dans laquelle ils roulent ? L'idéal est d'avoir les moyens d'acheter et d'entretenir une dizaine d'auto, ce qui permet de les acheter faiblement kilométrées et de rouler peu avec, même en les sortant tous les weekend. En tous cas avec ma Scuderia de 50.000 km je suis tranquille, personne n'en voudra ! Désolé je ne veux pas pourrir ton post. En tout cas à choisir je prends la Scud ! Bonne recherche !
  16. 3 points
    Ce n’est pas ma propre expérience, c’est celle de nombreux Ferrarista 😂. Le déni complet 😂
  17. 3 points
  18. 3 points
    Bienvenu Michael ! Désolé je ne peu te dire grand chose sur la 360. En revanche pour ce qui est de la crainte de Madame pour la couleur, je me permettrait de te demander si elle en a vue une de prêt...? En photo ma femme ne jurais que par le noir ou le gris foncé. La semaine dernière je l'ai emmener en concession et mise devant 'toutes' les couleurs de la gamme. Elle a fondue devant une rosa corsa 🥰 !! Elle a comprit que de toutes façons c'est une Ferrari 😉
  19. 3 points
    Y’a petites faiblesses et multiples petites et grosses faiblesses, heureusement comme chez n’importe quel constructeur il y a des modèles très fiables chez Ferrari, une majorité d’ailleurs .
  20. 2 points
    Comme promis et pour perpétuer les habitudes voici les retrouvailles en photo. Je remercie encore une fois Loïc pour la qualité du travail réalisé !!!
  21. 2 points
    Tu passes d’un V12 à un V8 bi turbo, pour moi il n’y a pas photo. Pour avoir une California, les places arrières ne sont adaptées que pour les jeunes enfants, si tu comptes voyager à 4 adultes, oublie la California. 2 voitures, 2 styles différents, un essai des 2 autos te permettra de faire le choix qui te convient le mieux 😉.
  22. 2 points
    @Artifils ce message tu as du le poster mini 20 fois 😂 @Toscano moi j’en ai fait 40000 de kms en 5 ans
  23. 2 points
    Bonjour à toutes et tous, Je ne voudrai pas prendre forcément la défense des ''grands'' constructeurs mais il faut reconnaître qu'à leur place, nous serions tout autant en peine quant à la bonne stratégie à adopter en matière de motorisation (ce qui coûte le plus cher tant en frais de développement, de matériaux et d''infrastructure industrielle). D'autant que pour assurer leur avenir, il faut être désormais mondial. Hors entre l'UE (et UK y compris) volontairement pro zéro émission, les US rétropédalant pour continuer à vendre leurs pick_up et gros V8 (qui soit dit en passant ne trouvent acheteurs que sur place au grand dam de Mister Trump), la Chine ayant fait le pari - gagnant pour l'instant et sans doute pour un bon moment - puisqu'ils ont loupé la marche du thermique et qu'ils ont l'avantage d'avoir toutes les matières propres à produire les batteries chez eux et le Japon, marché certes très fermé qui attend de voir en testant toutes les solutions possibles : hybride (Toyota en étant le chantre), moteur à hydrogène et électrique alimenté par un mini-moteur thermique. Bien malin est celui qui trouvera la juste démarche d'autant que les politiques semblent tout aussi perdus entre préservation de l'emploi et des fins de mois des travailleurs du secteur automobile (près de 3 millions d'emploi en Europe) et préservation de la planète (présenté comme la fameuse injonction contradictoire entre fin du mois et fin du monde, et notamment pour les générations futures et même dans un très proche avenir, celui de nos enfants et sûrement celui de nos petits-enfants).. D'autant que développer les deux modèles, à la fois thermique et électrique, est intenable financièrement parlant, du moins sur une grande échelle, c'est à dire au-delà d'une production annuelle de 200-300 000 véhicules. Sans parler de nos chers constructeurs français (que je ne blâmerai pas si vite), il suffit de voir dans quelle difficulté se trouvent les constructeurs prémium d'outre-Rhin alors qu'ils étaient encore il y a un an cité en modèle, en parangon de l'industrie automobile, comme les premiers de la classe (un peu symptomatique du complexe d'infériorité que nous, Français, avons toujours tendance à développer vis-à-vis de nos voisins d'outre Rhin (alors que ces derniers considèrent la France un peu comme le paradis sur terre. Pour preuve, pour les germanophones, l'expression ''Leben als Gott in Frankreich'' en est le témoignage flagrant). En vérité, je ne retire rien au sérieux et à la qualité de leurs véhicules. Mais il faut bien reconnaître qu'ils se sont largement fourvoyés dans le développement de leur gamme électrique. > La gamme ID de Volkswagen s'est avérée en être une bien mauvaise (d'idée). Avec un design mollasson et des performances à la traîne par rapport à Tesla & BYD, ils se sont fait complètement dépasser sur le terrain du marketing où ils excellaient jusqu'alors.Et qui plus est, ils ont arrêté de développer leurs vaches à lait : Golf, Polo et Passat. La Passat VII n'existe plus qu'en break et à un prix dépassant un volvo V60 autrement plus statutaire, la Polo se fait grignoter de l'intérieur par les Fabia et autre Ibiza sans parler des Clio et 208 qui caracolent en tête sur le segment B en Europe et la Golf n'est plus l'archi-dominatrice qu'elle était. Pour le même prix, une Octavia, pas moins bien finie offre bien plus d'espace et la dernière 308 l'a largement rattrapée en qualité perçue, sans parler du design bien plus dynamique (Je parle en connaissance de cause, étant passé en véhicule de fonction d'une A3 hatchback à une 308 SW GT hybrid. Et franchement, je trouve cette dernière aussi bien finie, sans parler de l'agrément de conduite qui a toujours été un plus chez Peugeot, étant le seul (grand) constructeur a développer ses propres amortisseurs). > Quant à Mercedes, que penser de leur gamme EQA, EQB, EQC, EQE, EQS ...? Ils auraient dû plutôt les appeler ''Euh Que Sait pas très bien où l'on va'' 🙂 Là aussi design affadi, comme une belle pâtisserie trop longtemps passés au four et intérieur avec une profusion d'écran qui vient se substituer aux belles matières et fins ajustements qui faisaient tant pour la réputation justifiée ldes Mercedes jusqu'alors. > Je ne parle pas de BM et de leur iX avec leur design mastoc et notamment leurs difformes calandres d'autant plus ridicules depuis qu'elles sont devenues totalement factices. Et que penser du monstrueux X7 M60 qui pèse plus qu'un camping car ? Va-t-il falloir bientôt passer le permis poids lourd pour conduire de tels chars d'assaut ? Notez-bien qu'à l'arrêt, il est possible de jouer à trois avec la voiture au Uno (véridique - cf. 1ère photo extrait du catalogue vantant les mérites de ce blockhaus sur roues). Si encore, c'était pour financer le développement des CSL ou autre remake de la M1 - dernière BMW à mon goût avec les premières M3;. Mais même pas ! Il y a bien eu une CSL hommage mais une fois présentée, il était déjà dit que tous les 50 ''malheureux'' exemplaires étaient déjà vendues. Quelle frilosité ! Quand on pense qu'une SF90XX a été et continue à être produite jusqu'à 799 exemplaires alors qu'elle vaut trois fois le prix de cet hommage. > Quant à Audi, ils ne savent plus très bien non plus où ils vont. La dernière nouveauté, l'A5 remplaçant l'A4 selon leur nouvelle politique de naming est l'arbre qui cache la forêt puisque le reste de la gamme date au moins de deux à trois ans. Et en Chine, un de leur marche phare sous la férule de VW, longtemps leader incontesté, ils perdent pied à l'instar de leur mentor. Ils vont jusqu'à se réinventer en s'associant avec BYD pour créer une toute nouvelle marque qui s'appellera tout simplement AUDI en lettre majuscule et sans les anneaux. Quelle révolution ! > Même Porsche qui, pourtant depuis plus de dix ans et jusqu à très récemment était cité en exemple comme le Best of Class en matière de rentabilité, de mix produit, de stratégie mondiale, sans parler de qualité des produits (ce qui reste le cas fort heureusement pour eux), se retrouve à devoir totalement revoit leur plan de marche en avant vers l'électrification, étant d'ailleurs les premiers via le fort lobbying allemand à plaider pour une révision des clauses du tout électrique en 2035 (du moins en Europe), militant notamment pour un carburant vert zéro émission produit à partir de cultures élevées uniquement grâce aux énergies renouvelables, panneaux solaires, éoliennes et eaux provenant des barrages. Joignant le geste à la parole (il faut leur reconnaître leur détermination), ils ont même investi au milieu du désert Chilien une vaste superficie où ils appliquent cette approche. Seulement, le prix de revient d'un tel carburant est actuellement de 80 € le litre. A ce tarif autant s'acheter un (très) bon scotch de 18 ans d'âge ou un Château-Laffite (certes à faire vieillir), le temps que le tarif d'un tel e-carburant devienne plus raisonnable. Que les F1 ou les Hypercars fonctionnent demain avec un tel carburant, rien de choquant, bien au contraire. Cela ne représentera qu'un pouillième d'augmentation de leur budget de fonctionnement et fera taire les allatoyahs verts qui vouent aux gémonies les pauvres hères roulant encore au Diesel mais s'extasient devant les aventuriers à la découverte des merveilles ''inconnues'' de mère Nature qui, à force de moult voyages en avion, d'équipements hautement plastifiés et de reportages en temps réel de leur exploit gros consommateur des datas centers, ont un bilan carbone certainement dix fois plus élevé que le ''pauvre'' artisan roulant dans son antédiluvien C15 Diesel ou le ''malheureux'' étudiant se rendant à la fac dans sa vieille 208 HDI (Là également, je parle en connaissance de cause, mon premier fils roulant avec une 208 HDI 92 ch de 2013 qui totalise plus de 250 000 km et dont le moteur fonctionne à merveille avec une consommation moyenne de 4,5 litres, de quoi faire pâlir nombre d'hybrides, à commencer par ma 308 SW GT 225 ch qui une fois les 45 km d'autonomie en zéro émission utilisé flirte avec les 8 litres à 130 Km/h là où la 208 de mon aîné affiche une conso instantanée deux fois moins élevée. Bien sûr, je ne parle pas du sentiment de bien être et de sécurité qui n'a rien à voir (qui sont aussi à la source du fort embonpoint qu'ont pris nos voitures). Mais ne dit-on pas que la sécurité n'a pas de prix ? Alors pour revenir à Porsche, certes le Taycan est bien dessiné avec une juste interprétation de ce que peut être une 911 4 portes électriques (cela me fait mal en l'écrivant). Je le trouve personnellement bien mieux réussi d'un point de vue style que la Panamera, un peu trop ''grosse'' à mon avis même si la dernière mouture a gagné en ''gracilité''. Mais seulement, à largement plus de 100000 €, et même avec une technologie à la pointe, cela fait quand même cher pour une voiture qui ne présente en conditions réelles qu'un petit 300 km d'autonomie sur autoroute (normalement son terrain de prédilection) là où une Tesla, certes (très) nettement moins bien finie (Personnellement, je n'ai jamais considéré Tesla comme un constructeur automobile mais plutôt comme un assembleur autour d'un système de batteries à la pointe) mais également bien moins chère parcourt aisément 200 km de plus et sans parler des BYD dont le dernier modèle seal et ses 1000 chevaux promet des performances à la hauteur de la Taycan ''turbo'' (là encore une abbération marketing) et une autonomie deux à trois plus élevée, et le tout avec une finition certes pas à la hauteur de la marque de Zuffenhausen mais bien loin de l'indigence des Tesla. Maintenant, comme Saint Thomas, de telles promesses restent à juger en conditions réelles. Au delà, Porsche reviendrait également sur sa décision de commercialiser le Macan et les futures Cayman et Boxster en tout électrique. Mais pour Porsche, le danger ne vient pas du marché européen, ni même américain pour lesquels les (aisés) consommateurs resteront toujours convaincus de la supériorité de l'ingénierie, de la finition, de la sportivité et de la valeur résiduelle de la marque au cheval cabré et des armories de Stuttgart. > Non, il vient de la Chine et du marché asiatique, le plus gros potentiel en croissance, où la culture automobile est plus récente et donc les habitudes moins ancrées que dans nos vieux continents. D'autant, et cela n'est pas suffisamment relayé, que depuis près d'un an, le vénérable grand timonier Xi Jinping, prônant un retour aux valeurs traditionnelles du communisme, sans toutefois abandonner la culture du progrès et du mieux être, a décrété la politique du ''luxury shaming'' consistant à déclasser les (riches) citoyens chinois qui achèteraient des produits de luxe étrangers alors qu'ils pourraient acheter des produits chinois équivalents, le déclassement consistant à enlever certains privilèges comme des facilités de visa pour voyager à l'étranger ou obtenir plus facilement des promotions dans les entreprises nationalisées ...etc. Et plus encore que les errements des constructeurs germaniques dans le marketing de leur gamme électrique, c'est l'application de ce luxury shaming qui a précipité les ventes des constructeurs premium. Et quid de Ferrari dans tout cela ? Disons que cette politique n'a pas d'effet dans la mesure où il n'existe pas (encore ?) de concurrents chinois et vu le volume de diffusion restant confidentiel comparativement à la taille de l'empire du milieu, il n'y a pas matière à s'inquiéter, d'autant que les acheteurs sont généralement haut placés dans l'ordre du Parti et qu'ils s'en servent plutôt comme un bel objet d'apparat, un peu comme une très beau modèle non pas réduit mais à l'échelle 1/1 🙂 Et étant donné l'état encore très inégal du réseau routier, il serait très risqué de circuler en Competizione ou autres Pista. Peut être que le Purosangue (toutes vitres teintées bien sûr) pourraient permettre à certains haut dignitaires de sortir incognito des sentiers battus ! Quant à nos chers constructeurs français, ils n'ont pas trop de souci à se faire avec le marché chinois puisqu'ils ne peuvent que progresser, en étant totalement absent. Je me souviens dans la lecture de l'auto-journal de mon adolescence de la fierté du journaliste qui vantait les efforts de Citroën qui allaient proposer un modèle spécifique pour le marché chinois, à savoir la ZX tri-corps alors que Peugeot y importait son stock invendu de 405 produites en Iran à l'époque. La Citroën C5 X et la DS9 ainsi qu'une version à empattement rallongé de la 508 sont bien produites en Chine mais sur place, elles ne sont quasiment vendues qu'aux cadres sup français expatriés ou aux ambassades françaises. Seule la C5 X a obtenu des scores plutôt honorables sur le marche français pendant sa première année de commercialisation (mais bonjour le bilan carbone, les voitures devant quasiment faire le tour du monde pour arriver en concession hexagonale). Mais j'arrête là le French bashing qui est un peu notre spécialité pour applaudir à deux mains la stratégie produit de nos constructeurs en matière d'électrique. Et c'est plutôt bien vu puisque d'un point de vue thermique, depuis les 8 cylindres en ligne des Bugatti d'avant guerre, les voitures françaises n'ont jamais brillé par leur motorisation, et ce alors que Renault a gagné un nombre enviable de championnat de formule 1 en tant que motoriste et constructeur et sous différentes formes V6 turbo, V10, V8, que Peugeot a gagné également sur tous les terrains sur terre et sur route avec le valeureux et robuste 2 litres des 504, le V6 PRV des 504 coupé, le 1.8. turbo des 205 T16 puis 405 T16, le 1.6. biturbo des 206 WRC, le fabuleux V10 atmo des 905 (en vérité destiné au projet des F1 Peugeot ayant fait pschiit) sans parler de l'impressionnant V12 HDI des 908 mettant fin à plus d'une décennie de victoire des Audi R8, R10 & autre R15 (on en parle pas de Renault). Et tout comme pour les smartphones ou autres objets connectés, la technologie plutôt simple des batteries (en ce sens qu'il y a peu de composants interagissant comme pour un équipement d'origine mécanique) permet de rebattre les cartes. > Et chez Renault, Luca di Meo, très fin stratège et passionné de produit, a su parfaitement insuffler ce pep's et cette fraîcheur qui faisaient tant défaut à la marque au losange. Avec l'aide de Gilles Vidal, ancien designer en chef de Peugeot, il a su redonner vie à toute une gamme qui donne franchement envie de se mettre derrière le volant. Mon épouse a craqué dernièrement pour la R5 en jaune mica et j'avoue que dès que je peux, je lui pique, ne serait-ce que pour aller chercher le pain à 3 km de la maison. Avec ses 150 chevaux immédiatement disponibles, son frein moteur instantané au levée de pied, ses trains roulant surdimensionnés (les mêmes que pour l'A290) et son interface graphique au top, sans compter les touches de jaune sur le tableau de bord et le tissu chiné jaune & noir des sièges, c'est un vrai régal. Bon bien sûr, quand je vois l'autonomie de 300 km (en réalité un petit 200 si on veut un peu s'amuser), je me dis que c'est bien en seconde voiture et que pour le coup (ou plus exactement le coût), ce n'est pas forcément donné même avec le bonus déduit. Mais en même temps, en face, c'est aussi cher et moins bien (je pense à la Mini E notamment). Et puis ''cherry on the cake'', Renault, et plus précisément Luca Di Meo, Gilles Vidal et leur équipes ont osé la R5 turbo 3 E avec ses 540 chevaux aux roues arrière. Et surtout avec 1980 exemplaires, on risque de la voir un jour ou l'autre dans nos rues ou ne serait-ce qu'en concession (mais il faudra être patient car elles ne seront livrées qu'à partir de 2027, Renault adoptant sur ce plan la même approche logistique que Ferrari, victime de son succès ! Sans compter qu'à 155000 € (certes prix de base sans personnalisation), toute proportion gardée, ce n'est pas démesuré. (309) TOUT SAVOIR SUR LA RENAULT 5 Turbo 3E 🔥 (Un monstre sur nos routes!) - YouTube Sans bouder mon plaisir de voir enfin une telle montée en gamme, je me pose juste la pertinence du positionnement de ce produit fabuleux vis-à-vis de l'Alpine A290 qui sera 2 fois et demi moins puissante et qui plus est produite à Douai, plus exactement à Cuincy, sur la même ligne que celle des R5 alors que la R5 turbo 3 E, comme pour les berlinettes A110, sera 100% made in Dieppe (J'habite personnellement à moins de 5 km de l'usine). Il est vrai qu'historiquement, les R5 turbo 1 & 2 étaient des produits de la marque au losange, donc la fait que la 3 E soit une Renault me parait tout aussi logique que légitime. Mais ce qui me chagrine, c'est plutôt le positionnement des A290 qui avec 180 et 220 chevaux feront rapidement pâle figure face au renouveau des GTI électriques qui s'annoncent (cf.§ suivant).. J'aurai trouvé plus logique de les appeler R5 Alpine 180 & R5 Alpine 220 comme cela avait été le cas à la fin des années 70 début des années 80 (avec la R5 Alpine tout court puis la R5 Alpine turbo qui donna ensuite, avec l'arrivée de la supercinq, naissance à la fameuse R5 GT turbo, concurrente des légendaires 205 GTI 1.6. puis 1.9. - c'était toute notre jeunesse, le temps des RGL (''Rayban-GTI-Lacoste'') versus les RPK ''(R12-Pastis-Kiabi'') ! Et justement côté Alpine dont on célébrera en grande pompe les 70 ans lors du prochain week-end de la pentecôte, c'est à dire dans juste trois semaines du 29 mai au 1er juin (venez nombreux - cela se passera sur les vastes pelouse en bordure de mer sur Dieppe - plus de 1000 voitures sont attendues et les Ferrari seront les bienvenues, l'ambiance étant vraiment bon enfnat), l'événement en 2025 sera le crossover A390 dont le design est bien prometteur (perso que je préfère au Macan car plus sportif et plus élancé). La version de série sera justement présentée à l'occasion de ce jubilé à quelques encablures de l'usine. > Et du côté de Stellantis et notamment de chez Peugeot, dès le remerciement de Carlos Tavares, paradoxalement castrateur alors que c'est un authentique passionné d'automobiles (à l'origine de la renaissance d'Alpine, il ne faut pas l'oublier) mais comme un autre Carlos plus passionné encore de finances (tout en restant dans la limite de la légalité), le nouveau patron de Peugeot, Alain Favey, a annoncé le retour d'un autre mythe : la 208 GTI qui reprendra la base de l'Ypsilon HP avec 280 chevaux et ce pour un montant bien plus raisonnable aux alentours de 45000 €. De quoi largement rivaliser avec l'A290 et ses ''modestes'' 220 chevaux. Et comme évoqué, l'Ypsilon HP avec ses décos Martini fleure bon le retour aux sources de Lancia (enfin !!!) : Rally 037, Delta S4 et Delta HF Integrale, même si la puissance est plus modeste, mais rien nous empêche d'imaginer une puissance doublée avec la miniaturisation et la multiplication des batteries pour les versions concourant en rallye qui tôt ou tard se convertira à la fée électricité. > N'oublions pas non plus que Stellantis est sous la main mise de John Elkan qui préside également aux destinées de Ferrari avec Benedetto Vigna, ex DG de ST Microelectronics (et ce n'est certainement pas un hasard qu'il ait été choisi pour gérer cette période charnière). Ferrari vient d'annoncer que la future voiture 100% électrique sera finalement commercialisée non pas en octobre de cette année comme initialement programmé mais six mois plus tard, soit dans un an, histoire certainement de maximiser son développement et d'en faire sans nul doute un véhicule à nul autre pareil, mettant à profit tous les avantages de l'électrique, tant en termes d'instantanéité totale de la puissance, de frein moteur surpuissant et surtout de disposition idéale en matière de centre de gravité et de répartition des masses. Il faut également faire confiance aux ingénieurs acousticiens pour trouver le son nouveau qui surprennent agréablement nos tympans (peut-être à l'instar du faucon Millenium pour les fans de Star Wars qui se reconnaitront 🙂). Comme déjà évoqué par ailleurs, au vu des protos fortement camouflés, la plupart des internautes parient pour cette première Ferrari 100% électrique sur une carrosserie SUV, pardon FUV, comme un Purosangue en plus petit - il est vrai que le concurrent de Santa Agata a déjà dévoilé son 100% électrique, le Lanzador qui adopte ce type de carrosserie - qui d'ailleurs ne sera lancé qu'en 2029 et non 2028, histoire sans doute de voir et s'adapter à la nouvelle e-Ferrari) mais je persiste à croire que cette dernière sera plutôt une berlinette qui permettra justement de démontrer mieux encore toute la pertinence du positionnement et de la miniaturisation des batteries, et certains brevets déposés en ce sens et dévoilés par Ferrari me laissent penser en ce sens. Maintenant, je peux me tromper - les paris sont ouverts. Le futur électrique de Ferrari surprend : premières images et sons du mythe - passionandcar.fr Enfin, le marché européen ne présente qu'un tiers des ventes pour Ferrari et donc le moteur thermique a encore de très belles années devant nous, d'autant que Ferrari continue à innover en la matière, avec dernier brevet en date des pistons ovales qui permettraient d'augmenter la puissance tout en réduisant les émissions. Presque la quadrature du cercle ! Une révolution sous le capot : Ferrari dévoile un V12 inédit avec des pistons ovales pour repousser les limites de la performance - Innovant Et c'est là qu'on voit tout l'avantage du positionnement hyper luxe de Ferrari qui peut se permettre de consacrer leur budget de R&D à la fois à l'électrique et l'hybridation et au thermique. Ce que peuvent bien plus difficilement se permettre des constructeurs généralistes et même prémium, vu le volume conséquent de production et le double investissement que cela représente sans pouvoir en répercuter les frais de développement. Et c'est justement le danger, les batteries étant finalement assez simples à produire, c'est le coût de production qui va plus encore faire la différence et à ce petit jeu, les chinois risquent fort de tirer leur épingle du jeu. Il y a bien des gigafactories qui ont été lancées à grand renfort de com et tout particulièrement dans le Nord, Dunkerque, Douvrin, juste au pied de l'actuelle Française des Mécaniques voués à disparaître mais les batteries nécessitent bien moins de main d'oeuvre La ''casse'' sociale risquent d'être dur à avaler, et c'est un doux euphémisme. Pour finir sur ce sujet, je ferai l'analogie avec les montres. > Les montres mécaniques correspondent à mes yeux aux moteurs thermiques avec leur assemblage minutieux d'une multitude de composants interagissant entre eux pour engendrer un mouvement perpétuel et qui nous permet d'avancer dans le temps ou dans l'espace pour ce qui est du moteur. Il existe un nombre quasiment infini de modèle, du plus simple au plus complexe dans l'assemblage des composants tout comme une variété dans la nature même de ces composants : acier, aluminium, alliage à partir de zinc, titane, voire carbone. De même, l'habillage du cadran s'apparentant à la carrosserie peut aller du simple élément en matière plastique à l'encadrement en métaux précieux jusqu'à être serti de joaillerie : diamant, émeraude ou rubis. On peut ainsi aller d'une simple Yema à une Philippe Patek tourbillon ou une Richard Mile RM-Up (montre la plus plate au monde avec 1,75 mm d'épaisseur correspondant à autant en million d'euros). Richard Mille dévoile la RM UP-01 Ferrari, une montre ultra plate de 1,75 mm d'épaisseur vendue au prix de 1,7 million d'euros | GQ France > Quant aux montres numériques et notamment la fameuse Apple Watch, je les apparenterai aux voitures électriques, avec une facilité d'utilisation et une multitude d'options possibles. En cela, les Tesla s'apparentent vraiment aux Apple watch. La contrepartie étant une certaine uniformité avec un choix limité de personnalisation et une certaine absence d'âme comme peuvent avoir les montres mécaniques. Et puis également le risque d'un black out total lorsqu'on arrive en fin d'autonomie de batterie avec l'angoisse de trouver une prise où recharger sa montre (ou son véhicule) et le risque également d'oublier ce même chargeur et de devoir en racheter un autre. L'idéal étant finalement d'avoir les deux : une numérique pour toutes les activités et options possibles : cardio-fréquence mètre, réception des mails, appels automatiques, ...etc et une mécanique pour la permanence et la durabilité du temps qui rythme notre vie. A vous lire. Ferraristement vôtre.
  24. 2 points
    Je les avais contacté pour Booster le son de ma 812 Oui on sait faire à partir de 5000 € 😆😆😆 Je précise qu'il fallait remplacer les 4 haut-parleur d'origine par des Focal ou des Sonus Faber Il y en avait pour 1.600 au max en matériel Ils attendent toujours le RV... Pour revenir au Carplay, je vais interroger un ami qui devait le faire Sait on jamais
  25. 2 points
    Suis passé à la machine, j'arrivais plus à suivre 🤣
  26. 2 points
    Comme tu le soulignes la California peut avoir ce problème. C’est rien comparé à ce que peut avoir une F430 !! Ecoute si des sociétés comme Scuding propose des solutions en supprimant tout L’ADN sportif de la f430 avec la pose d’un boîtier castrateur qui supprime le différentiel électronique de l’auto et qui en fait une trottinette, plus divers autres produits de remplacements de pièces d’origine de la f430, c’est qu’il y a de graves pannes potentielles à la clef et qu’il y a eu de TRÈS NOMBREUX CAS DE GRAVE PROBLÈMES QUE L’ONT CONNAIT qui les ont conduit à développer ces produits !!! Ils en vendent à la pelle et nombreuses 430 du forum en sont et en ont été équipées. Bizarrement ils ne proposent pas la même solution pour une Modena ???? Ou autre !!! POURQUOI ? De plus si tu regardes le nombre de post sur ce forum ou sur Ferrari chat ( encore pire ) traitant de soucis avec divers degrés de gravité sur les F430 tu comprends que potentiellement ce modèle subi des avaries plus fréquentes et plus coûteuses que sur les autres modèles. Et je suis heureux de prévenir les potentiels acheteurs que la f430 est une super auto à piloter mais qu’elle peut vous plomber le budget. c’est une realité !!! .
  27. 2 points
    Eh bien ça y j’ai remplacé ma 512 😃 très content de cette auto achetée « off market » après contact de mon garagiste avec un marchand l’auto est vraiment sympa les principales données 1993 58000km carnet + toutes lés factures ( dont le bon de commande à 324’000 Deutsche Marks ) l’auto a été vendue neuve à Ingolstadt et entretenue à Munich elle sort d’une grosse grosse révision ( distribution, réservoir, amortisseurs, disques/plaquettes, compresseur de clim, etc… ) elle est vraiment bien plus « fraîche » à la conduite que la précédente qui était déjà très très bien parmi les bonus il y a évidemment la boîte à outils, un set de bagages partiels ( 1 valise et 2 vanity ) et la lampe à brancher dans la boîte à gants ça sert à rien mais ça fait toujours plaisir 😄 j’en profite pour vous remercier tous pour vos bons mots à l’occasion de ma mésaventure passée promis, vais essayer de pas la plier celle-ci 😁
  28. 2 points
  29. 2 points
    Clairement Le Mans n’est pas l’objectif cette année, de toutes manières Porsche fait tout le taff pour avoir Le Mans cette année et négliger le championnat, chacun son tour c’est malheureusement toujours comme ça au Mans depuis l’arrivée de la BOP. Ferrari joue clairement le championnat et jouera la stratégie au Mans.
  30. 2 points
    Salut les copains . Je suis assidûment la F1 depuis des années et juste pour l'épreuve du Man le Wec . Comment peut 'il y avoir autant de différence de résultat entre les deux disciplines . Est ce à dire que la F1 au niveau technologique est vraiment un gros cran au dessus ? et qu'il n'est pas maitrisé par les ingénieurs de chez Ferrari ........ En tout cas que de belle images sur les vidéos précédentes et l'engouement provoqué par la réussite . Je vais essayer de plus suivre cette discipline , car en F1 pas de résultats malgré les années qui se suivent et un Frederic Vasseur à la baguette mais qui peine à faire briller la Scudéria ...
  31. 2 points
    Tu ne crois pas si bien dire... Ca dépend évidemment des climats et des époques de l'année : en fait, surtout de la température extérieure et des indices de viscosité de l'huile. Dans le nord-est de la France, en hiver avec une 10W50, il faut bien 25 kms avant que le thermomètre d'huile commence à dépasser les 60°, ce qui revient à dire que tu ne peux pas "tirer" les rapports au delà de 3500 trs/mn avant 25 kms. J'ai souvenir d'un Metz-Strasbourg sur l'autoroute par températures négatives (j'avais de la 5W40 à l'époque): sur 150 kms, l'aiguille n'est jamais montée au-dessus de 60°... La température d''eau monte en trois-quatre kms sur une 328; l'huile, ben c'est fonction des facteurs ci-dessus (viscosité et température extérieure); perso, c'est peut-être de la superstition, mais je m'impose dans toute la mesure du possible de ne jamais faire de trajet - d'une traite - inférieur à 75 kms. (La bonne vieille règle de Kai Jacobsen, qui a mené sa 308 QV à 250.000 kms: "30/30" = pas plus de 3.000 trs/mn pendant 30 kms, me semble trop conservatrice; je m'en tiens à "pas plus de 3.000 trs/mn avant que la température d'huile ne décolle au-delà de 60°)
  32. 2 points
    😱😱😱😱😱😱 c’est le bureau de Strauss khan au FMI😅😂😂😂 Pas un papier sur le bureau mais des canapés partout 🤣🤣🤣 Bon j’suis jaloux, mais pas du tapis🤭, par contre la F1 🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰🥰
  33. 2 points
    Merci ☺️ Pour te faire plaisir, mon bureau 😉
  34. 2 points
    La question se prend à l'envers. Avec laquelle on est le plus emm...dé ? Sinon, pour ne pas être embêté, le mieux est de ne pas avoir de Ferrari, mais ça, c'est emmerdant 😁
  35. 2 points
    Bon, j’en ai eu de toutes provenance, USA etc. Les derniers sont de France pour l’avant et de Serbie pour l’arrière 😓😂 .
  36. 2 points
  37. 2 points
  38. 2 points
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    Voilà un aperçu de la mienne sûrement pour semaine prochaine malheureusement ….
  40. 2 points
    On est pas bien là? au soleil, en boite méca ? les cheveux au vent ? (et non puisque c'est une GTB). Et non ce n'est pas la météo du jour ici 😇 Quelle auto, quel pied !
  41. 2 points
    Bon, les choses semblent s’éclaircir de mon côté ! Après une requête infructueuse auprès de notre partenaire @EmiliaParts, j’ai finalement trouvé mon bonheur chez RedParts à Montigny. Mon dossier a été parfaitement traité par James Mercier, qui a été super disponible et a trouvé la pièce. Moins de 24h entre le premier message et le retrait de la pièce, un modèle d’efficacité ! Bravo à eux. Bien loin des derniers échos que j’avais eu sur eux 🙂 Rétro déposé ce matin chez mon carrossier préféré et il sera monté le 19/5 après peinture puisque comme vous l’aurez noté, il est pour le moment dans un banalissime Grigio Silverstone 😄. Du coup un gros lavage et elle sera prête pour Spa, je suis bien content. 🙂 Deuxième bonne nouvelle, les caméras de surveillance ont révélé l’identité du champion qui n’a pas eu le courage de s’arrêter. Dépôt de plainte effectué, pas mécontent que justice soit faite.
  42. 2 points
  43. 2 points
  44. 2 points
    Bonsoir...moi aussi je pensais que c était juste un rêve impossible....et puis d abord une 430 puis à ce jour une fabuleuse 599, les deux rosso corsa : en ce qui me concerne juste une évidence.... Sois prudent dans ta recherche et n hésite pas il y a des possesseurs de Modena avisés ....cordialement
  45. 2 points
    Le plan du circuit pour Spa-Classic 2025. L'espace Ferrarista.club sera comme l'an dernier dans la section "Fan Zone", en haut en rose. L'accès s'effectuera donc pour l'entrée STER, située en haut sur le plan. Idem pour ceux qui sont en parking P1 (ie sans leur Ferrari). A noter qu'il y a une "exposition Ferrari " sur le plan !
  46. 2 points
    Quelle est, aujourd'hui, la Ferrari avec le mythique V12 avant, les sensations procurées par la célèbre grille en H de sa boite manuelle, et suffisamment moderne pour vous emmener sur de longs trajets en toute sérénité ? Le tout en restant relativement accessible. La Ferrari 550 Maranello avait reçu beaucoup de louanges dans les années 2000. Que devez-vous savoir aujourd'hui avant d'en acheter une ? Comment bien choisir votre exemplaire ? A quoi faire attention ? Quels sont les coûts d'utilisation ? @loli a le recul de son expérience de propriétaire de Ferrari 550 Maranello pour vous raconter concrètement tous les aspects de l'expérience au volant de cette Ferrari très désirable. Caractéristiques Années : 1996-2002 Moteur : V12 48s Transmission : Manuelle à 6 rapports Puissance maxi : 485 ch à 7 000 tr/min Couple maxi : 570 Nm à 5 000 tr/min Poids à vide : 1 825 kg Vitesse maxi : 312 km/h - Accélération : 4,4 s de 0 à 100 km/h @Franck : Quel est, rapidement, ton parcours automobile et pourquoi as-tu choisi la Ferrari 550 Maranello ? @loli : J’ai toujours roulé en Mercedes de plutôt grosses cylindrées. J’en possède encore plusieurs à ce jour ( 500e, sl500, amg gts, s63). Ma première voiture « sportive » a été une Porsche 993 (que j’ai toujours d’ailleurs), achetée il y a 13 ou 14 ans. J’ai toujours rêvé d’une Ferrari 512 TR, mais il y a 6 ans ce n’était pas à ma portée. Mes critères étaient d’avoir un V12 avec la fameuse grille en H. Le tout dans un budget relativement contenu (autre époque…). En toute honnêteté, je ne suis pas un grand spécialiste de la marque mais plus j’avançais dans mon projet, plus la beauté de la Ferrari 550 Maranello s’est imposée à moi. Ses apparitions médiatiques (le film Bad Boys ou le fait que mon idole Schumacher en ait possédée une) y ont peut-être aussi contribué. @Franck : Quels étaient tes critères d’achat d’une Ferrari 550 Maranello et comment as-tu réussi à trouver ton exemplaire ? @loli : Comme la plupart des primo-accédants, posséder une Ferrari me faisait un peu peur pour les coûts d’usage qu’une telle auto pouvait générer. Mes critères principaux ont été la clarté de l’historique, la qualité du suivi et si possible qu’un gros entretien ait été fait proche de la vente. J’ai trouvé ma voiture sur Ferrarista ! Je m’étais inscrit pour prendre des informations et un marchand de mon secteur m’a contacté. Après l’essai, j’ai été conquis. @Franck : Quels conseils donnerais-tu à quelqu'un souhaitant en acheter une aujourd'hui ? @loli : De foncer car c’est vraiment une auto très attachante. C’est très subjectif mais je la trouve belle comme une classique et roulable comme une moderne qu’elle est. Il y a un réel fossé entre la 512 et la 550 en terme de praticité et d’agrément. Le v12 est une vraie merveille même si l’échappement d’origine le rend un poil atone. Je conseillerai aussi de ne pas se focaliser sur le kilométrage. La mécanique est très robuste et il vaut mieux une auto qui roule régulièrement qu’une « garage queen ». Mais c’est un avis très personnel, j’achète mes autos pour rouler et pas pour spéculer dessus. @Franck : Qu’est-ce-qui t’a le plus marqué sur ta Ferrari 550 Maranello à l'usage ? @loli : La présence de cette auto sur la route et sa prestance à évoluer dans le traffic. C’est pour moi l’incarnation parfaite de la GT. Une voyageuse au long cours qui permet de te déplacer vite et longtemps avec un certain style. Je fais principalement des longs trajets avec. Plusieurs voyages en Italie ( Toscane, Ombrie, Côme, Ligurie, … ) ou en France. Et à chaque fois c’est un réel bonheur de voyager en Maranello. @Franck : Par rapport à tes autos précédentes ? @loli : Le tempérament moteur , l’allonge, l’agrément de la boite 6. Bref tout ce qui fait d’une Ferrari une auto vraiment à part. Et naturellement le regard des gens même s’il a toujours été bienveillant. C’est une auto peu connue, qui interroge. Et sa couleur la rend plus « passe-partout ». @Franck : Peux-tu nous parler des coûts induits pour une utilisation normale d’une Ferrari 550 Maranello (assurance, entretien annuel, grosse révision, imprévus, etc.) ? @loli : Pour être franc, j’ai tout sauf une âme de comptable. Quand il faut faire je fais et ne retiens pas forcément le détail des prix des révisions. Sauf la dernière car je viens d’avoir la facture. 4 800€ pour la grosse révision (toutes les courroies, filtres, bougies, etc…), évidemment chez un indépendant mais ça me parait très raisonnable. Ce d’autant qu’il y en a pour 2 000€ de pièces d’origine. En tous cas, je n’ai pas l’impression qu’elle me coute plus cher sur la durée que la 993. Je crois que l’assurance est autour des 1 000€. Les pneus en 18 sont assez abordables par rapport aux modernes et c’est une bonne surprise. Ce qui m’a plus étonné c’est la consommation, un vrai gouffre ! Au début je calculais pour me faire une idée et je crois que c’est rarement moins de 20 litres aux 100. Heureusement l’énorme réservoir permet un rayon d’action confortable. Dans les imprévus, j’ai eu le compresseur de clim (pris en garantie) et les amortisseurs. J’ai pu les faire reconditionner, de même que le boitier électronique associé. Car tout changer en neuf était vraiment onéreux (j’ai souvenir d’un devis à plus de 15 000€) @Franck : Quels sont à ton avis les points à surveiller sur une Ferrari 550 Maranello sur la durée ? @loli : Un peu ce que j’ai indiqué tout à l’heure. Les suspensions sont, je crois, un point de vigilance. Eventuellement l’embrayage ? Mais globalement c’est une auto très fiable, si correctement entretenue. @Franck : Et si c'était à refaire ? @loli : Je referai sans hésiter. C’est une auto que j’ai achetée un peu par défaut et en définitive ça a été une révélation. Elle est actuellement en vente sur notre forum, mais plus ça va et plus je me dis qu’elle risque de me manquer. Lien vers l'annonce de vente : @Franck : Comment utilises-tu Ferrarista pour ton expérience avec ta Ferrari ? Que t'apporte la communauté Ferrarista ? @loli : Au départ c’était pour me documenter sur les modèles qui m’intéressent. Mais depuis le sorties faites avec le club c’est pour le plaisir de lire les copains. En toute franchise, j’étais un peu sceptique de m’inscrire à un club Ferrari. Peur de me retrouver parmi des ultra-riches dédaigneux des p’tits mecs comme moi, passionnés par la question de savoir qui a la plus grosse. Et en fait pas du tout. Tout n’est que passion partagée et c’est vraiment génial. Je m’y suis fait des copains, des amis et c’est au final ce qui importe le plus. @Franck : Un énorme MERCI @loli pour tous ces détails très intéressants autour de ton expérience avec ta Ferrari 550 Maranello. Une bonne aide pour tous ceux qui songent à en faire l'acquisition. Quelles autres informations souhaiteriez-vous connaître à propos de la Ferrari 550 Maranello suite à la lecture de cet article ? Si vous possédez, ou avez possédé, une Ferrari 550 Maranello, quelles autres informations trouvez-vous intéressantes à fournir à un acheteur potentiel ? Si cet article vous a plu, vous aimerez aussi : - Essai longue durée : la Ferrari 550 Maranello de @bernard - Essai longue durée : les Ferrari Testarossa et 512 TR de @Mika 348 - Choisissez votre Ferrari : l'expérience de 40 propriétaires sur la durée
  47. 2 points
    En 2025, tu l'achèterai 65 000€ et le coût de la restauration client serait de 60 000€. Ça porte une 348 en super état à 125 000 €. Pour une Ferrari réputé entrée de gamme de 35 ans, ça commence à piquer !
  48. 2 points
    Ca me fait penser à la blague d'une blonde qui vend sa voiture et qui croise une copine. Elles discutent et la blonde lui dit qu'elle a du mal à la vendre car elle est un peu trop kilométrée. La copine lui dit qu'elle connait un gars qui peut lui réduire les km sur son compteur mais qu'il faut rester discret. La blonde accepte. Quelques semaines plus tard elles se recroisent et la copine dit à la blonde "Alors ? Tu l'a vendue finalement ?" et la blonde qui lui répond "Avec aussi peu de kilomètres ?!? Tu rigoles, je vais la garder !" 😘
  49. 2 points
    Je suis fan aussi du sol (et de tout le reste sur la photo 😇) !
  50. 2 points
    En dehors du débat de fond sur le kilométrage, ce genre de remarques me gonfle vraiment: le type, il le voit bien le nombre de bornes avant de t'appeler ou de venir ! Donc pourquoi faire perdre du temps à tout le monde pour te dire à l'arrivée: "ah oui mais bon, trop de kilomètres pour moi" 😡 Quel comportement d'abruti... Faut vraiment être patient des fois hein... 😓 Bonne vente à toi dans tous les cas 😉